mardi 12 mai 2009

"COMBUSTIBLE TEARS, DESTRUCTIBLE FEARS."


Un mois pour essayer de l’écrire. De nombreuses tentatives vaines, des essais avortés. Les souvenirs qui se mêlent et les mots au bout des doigts qui deviennent confus. Alors... Chut.

Une longue semaine d’avril 2009. Un dépaysement belge en quatre étapes françaises. Un marathon majoritairement improvisé et rempli de surprises.

Des tas de souvenirs à ranger là-haut, derrière une porte fermée à double tour. Pas pour oublier, loin de là. Juste pour conserver tout ça égoïstement, pour ne pas en perdre une miette, pour ne pas éparpiller ces paillettes n’importe où.

Des mots-clefs qui ricochent sur les murs, entremêlés de quelques noms propres. Des images collées à jamais sur le papier peint. Leurs voix et leurs mots qui résonnent au centre de la pièce. Leur musique soufflant sur les rideaux.

GHINZU.

2 commentaires:

Audrey a dit…

J'attendais ton article you know ^^ Bah voilà, je suis déçue : tu pourrais en faire des tartines, et non ?!! Ca ne veut pas sortir ?
Aurions-nous rencontrer l'inénarrable ?

Zys. a dit…

Il y a TROP à raconter, je crois. Trop pour le décrire aussi linéairement que d'habitude, ça me paraissait plat et fade à chaque fois que je tentais une phrase...