lundi 20 décembre 2004

Une journée parisienne...

Du froid, du froid, beaucoup de froid ; mais du soleil, apporté par mes soins. La nostalgie de l’ancienne ambiance des rencontres kkd ; mais quelques personnes que cela fait plaisir de voir et de revoir.

Un bon accueil de J. puis B., très animé, et euh... aérien, à mon arrivée [« J’veux descendre ! » et « Mais euh, je ne suis pas aussi gro... lourde que ça ?! »]

A refaire ? Je ne sais pas, possible. Une dizaine d’euros, et surtout des heures de train, pour seulement quelques rares moments de bonheur simple, c’est un peu dommage. C’est dommage d’avoir perdu ce que faisait de ces moments parisiens des moments si spéciaux.

Où sont passées ces rencontres où je me sentais si bien, comme « chez moi » ? Celles qui faisaient venir les larmes, lorsque l’heure de mon départ arrivait ? Celles dont les heures défilaient bien plus vite qu’on ne l’aurait souhaité ? Celles qui restent encore parmi les meilleurs moments de ma vie ?

Enfin, c’était tout de même sympa, cet après-midi. Merci à ceux qui l’ont rendu ainsi.


[De toute façon, j’m’en fous, j’ai mes chaussettes !]

jeudi 9 décembre 2004

Et bien sûr, ce train que j’ai dû prendre lundi, pour aller à Montpellier... il a fallu qu’il soit en direction de Toulouse.

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Etonnement de la semaine : on m’a toujours dit, et je me suis toujours rendue compte, que je faisais plus jeune que mon âge. Et en quelques jours, je me suis entendue appeler « Madame » par 3 fois. Hum. Ca vieillit, d’un coup. Moi qui m’en plaignait, de paraître moins que mes 19 ans, ce n’était pas si mal, finalement.

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Je suis retournée voir 'Eternal Sunshine', pour la seconde fois, hier après-midi. Dans le petit cinéma d’à côté de la fac, le seul qui le diffuse encore pour quelques jours. Je me suis retrouvée avec deux autres personnes, dans la salle tout minuscule et toute intimiste. Il n’y avait que des sièges vides entre moi et l’écran, j’avais l’impression d’avoir le film pour moi seule. Toutes ces émotions que j’avais ressenties la première fois, elles étaient encore là. Ces frissons au bout des doigts, ces nœuds au ventre et ces boules dans la gorge, ces tortillements d’estomac, ces « boum-boum » du cœur, ces douces larmes, ces sourires discrets. Tout ça, en deux fois plus fort, en deux fois plus grand. Parce que c’est ça, « l’étincelle éternelle... ».

Les aimer. Vouloir leur ressembler. Lui ressembler. Rêver.

« Oh my darling, oh my darling... »

[Edit : Et j'veux ses mitaines.]

vendredi 26 novembre 2004

« C’est le Chat Crew ou l’art de faire de rien un tout. »


Steph, le 26.11.04, vers 22h13.

dimanche 31 octobre 2004

« Notre » week-end.

- Pas de récit complet, juste des petits bouts, disséminés ici et là. Eviter de trop y repenser, éviter le grand coup de nostalgie. Eviter les larmes que j’ai tant bien que mal (et malgré Indo) réussi à ne pas verser dimanche soir. -


Samedi 23 octobre, 7h55, Avignon, gare TGV.
« Le TGV n°**** en provenance de Lyon Part Dieu et à destination de Marseille St Charles va entrer en gare. »
Et voilà le début de ce week-end à Nice. Notre 1er moment chat crew, 2 ans après. Tous les 4 réunis, enfin.


« 10 min de retard ? »
« Mais où est-ce qu’elles sont ? »
« Un set de table ! »
« On ira ensemble, voir R.E.M. ? »
« Oh, Set à la plage ! »
« Moi aussi je veux un galet dédicacé ! »
« Les 4 S réunis ! »
« Set, tu mettrais un T-shirt blanc ? »
« Oh, un skate, on lui demande ? »
« J’ai 60 ans et je fais 60kg, moi. »
« Un photomaton ? »
« On va en Bulgarie, Steph ? »
« Et à Londres, on ira, aussi ? »
« Mais qu’est-ce qu’on va devenir ??? »
« On se fait ça tous les week-end ? »
« Une maison, tous ensemble ? »


[Liste TRÈS exhaustive. Fichue mémoire défaillante.]


Merci, à vous 3, et même à vous 5.



[Photo by Semp.]


Hey, vous savez quoi ?
J’vous aime.
[Mais pchut !]

samedi 16 octobre 2004

Sortir de son petit chez-soi un samedi à 8h30, se retrouver dans le nouveau froid automnal et souffler pour faire de la vapeur.

Enrouler son écharpe, la rouge, autour du cou, serrer bien fort sa veste en toile kaki, et mettre ses mains glacées tout au fond des poches de son pantalon noir.

Aller au cinéma, seule, un samedi après-midi d’octobre, voir ‘Eternal Sunshine Of The Spotless Mind’ et en ressortir toute retournée.

Quitter la chaleur de la salle et marcher dans les rues du centre-ville, sous cette pluie fine qui frise les cheveux et remplace les larmes sur les joues.

Ecouter R.E.M. dans le train, se coller le nez sur la vitre, et regarder les paysages qui défilent et le ciel gris qui stagne.

Continuer la lecture de cette petite histoire et retrouver cette fille toute jeune encore, et déjà perdue dans un monde qui n’est pas le sien.

Sourire, pleurer, se perdre, réfléchir, vouloir, rêver, rire, savoir, errer… et y repenser. Encore et encore.

dimanche 3 octobre 2004

Le frottement des chaussons sur le plancher ; la sensation du tulle ; le corps tendu à l’extrême ; les muscles que l’on sent s’assouplir à chaque cours un peu plus ; les exercices à la barre ; l’excitation des répétitions ; les rubans des pointes noués autour des chevilles ; la tension et le nœud au ventre des coulisses, qui se transforment en ivresse et impétuosité, une fois sur scène, la musique lancée ; le sourire qui se dessine sur les lèvres, après les cours, malgré la fatigue ; le sentiment de fierté d’avoir réussi un mouvement après des heures d’entraînement ; les soucis qui s’envolent avec les bras et les jambes, en mesure avec la musique ; la plénitude de l’après cours ; les envols au milieu de la pièce ; les tourbillons des pirouettes ; ...

Merde... Pourquoi est-ce que j’ai tout laissé tomber. Je veux retrouver ça. La danse, la danse classique. Et la meilleure prof qu’on puisse avoir, celle qui ne transmet que plaisir et joie de vivre, joie de danser.

Non. Pas de regret. Il ne faut pas. Il ne faut pas. Jamais. Aller de l’avant, c’est ce qu’on dit, non ?

jeudi 16 septembre 2004



Mardi 14 septembre 2004. 18h, gare d’Avignon centre. Ter Avignon-Bézier. Pas mal de monde. Deux sièges de libre, près de la porte. Un coin du siège semble avec été brûlé. Une fille arborant un T-shirt Manson entre dans la même voiture. 18h06, départ. Ciel gris. Dans ma besace, Silverchair, Indochine, Colour Of Fire. Dans mes oreilles, Saez. Encore. Devant mes yeux, les dernières pages de mon livre du moment. Arrêts à de multiples petites gares. Quelques personnes descendent à chaque fois. Très peu montent. Ciel de plus en plus sombre. La nuit commence à tomber. La pluie de même. Fin du livre. Pensées qui vagabondent, un peu dans toutes les directions. Mais surtout là où il ne faut pas. Coins des yeux humides. Milhaud, Vergèze-Codognan, Lunel. Quelques noms de villes, parmi d’autres déjà oubliés. Un peu plus de 19h20, Montpellier. Descente de la majorité des voyageurs. Immenses flaques dans la gare, pourtant bien abritée. Ça doit tomber, dehors. En effet. Pluie à torrent. Des grondements, et même quelques éclairs, en prime. Le tram me passe devant. Tant pis. Pas envie de courir pour l’attraper, surtout avec mon grand sac. L’arrêt de tram de la gare, un peu à l’abri, mais très humide. De toute façon, je suis déjà trempée. Tram suivant, je monte. Pas de siège de libre, ni envie de m’asseoir. Je m’adosse à la vitre. Quelques arrêts. Le mien n’est pas avant un bon quart d’heure. J’ose quelques coups d’oeil, autour de moi. Une adolescente, son sac à dos est équipée d’une fermeture éclair, jaune presque fluo, à énormes crans. J’adore. Une jeune femme en sandales. Un trentenaire, son parapluie s’égoutte sur le sol. Je regarde les perles d’eau tomber. Deux vieilles dames s’accrochent. Un refrain tant entendu résonne dans ma tête. ‘Aies du respect pour les vieilles personnes’. Je pensais stupidement qu’elles en avaient aussi entre elles. Je m’étais trompée. En face de moi, mon reflet tremblant. Silhouette floue, visage absent. Un semblant de fantôme. Assis un peu plus vers l’avant, je reconnais un étudiant. Nous étions ensemble, en médecine, l’année dernière. Son ‘bonnet Jamaïquain’ -je ne sais pas comment on appelle ça- cachant ses dreads, ses fringues vert kaki, son visage fin, ses grands yeux. Je ne lui ai jamais parlé. Mais le voyais souvent, en cours, ou dans le tram. Simple visage connu. Simple inconnu. Mon arrêt. 300 mètres sous la pluie, encore plus forte. A moins que ce ne soit une impression. Je passe dans les flaques impossibles à éviter, sous des arbres impossibles à contourner. Ou presque. Mais ça sonne bien, comme cela. Arrivée dans l’accueil, quelques secondes de sec. Puis, re-pluie. Nouvelles flaques, nouveaux arbres. Mon bâtiment. Montée des escaliers, 2 étages. Enfin, j’arrive. Ma clef dans la serrure résonne dans le couloir calme. Chaussures, pantalon, veste, sacs humides. Je me change. Des gouttes d’eau descendent des mes cheveux, sur mes épaules, ma nuque, mon dos. Je branche ma nouvelle antenne TV. Et la laisse, la TV, allumée. Histoire de ne pas retrouver le silence tout de suite. Un reportage sur je-ne-sais-quoi, à Cholet. Tiens, Cholet. Sourire. Il faudra, un de ces jours, que j’ose lui demander sa nouvelle adresse, à Ben. Même si ça ne presse absolument pas. Même si ça n’a aucune importance. Vu ce que j’en ferai... Je range mes affaires. Je sors mon carnet de mon sac. Pas une trace d’humidité. Bien que ma besace ne soit pas imperméabilisée. Je tourne quelques pages noircies. Une page vierge. Stylo à la main. Des tas de toutes petites choses à écrire. "Mardi 14 septembre 2004. 18h, gare..."

dimanche 12 septembre 2004

J’ai des commentaires et des réponses de commentaires à poster, des T-shirts à personnaliser, des affiches à ranger, des aménagements à prévoir, des affaires à rassembler, d’autres à acheter, des personnes à aimer, un dossier d’inscription à compléter, des tas de lettres à écrire, un pantalon à améliorer, de la calligraphie à commencer, une confiance en moi à travailler, une chambre d’étudiante à essayer d’accepter, des pages à noircir, de l’amour à partager, des CD à graver, des mauvais souvenirs à effacer, des cafés Montpelliérains à tester, des coups de téléphone à passer, des livres à découvrir, des carnets à remplir, un agenda à faire déborder, des larmes à verser, des sourires à afficher, des décos à imaginer, des gens à connaître, des ongles à ne plus ronger, des envies à assouvir, des blogs à visiter, des kilomètres à parcourir, des photos à classer, des heures de sommeil à rattraper, des mots à récupérer, des pensées à retranscrire, une timidité à ranger tout au fond d’un tiroir, des regrets à nettoyer, de l’argent à économiser, des amis à garder, quelques kilos à perdre, des heures de bandes à visionner, des cheveux à faire couper, ...

...mais je n’ai aucune motivation.

*Allez, demain, j’me lance.*
(Vous y croyez ?)

vendredi 16 juillet 2004

Placebo, hier soir, Arènes de Nîmes

- Je vais en avoir des choses à dire.
Hier soir, enfin plutôt dans la nuit, lorsque je suis rentrée, j'avais déjà des tas de petits paragraphes tout près à poster.
Mais j'étais vraiment trop fatiguée, j'ai filé directement au lit.
J'espère que je vais arriver à retrouver toutes les idées que j'avais eues! -


Quelques petits détails ennuyeux, tels que l'organisation de merde des vigiles pour nous faire entrer (ce qui fait que, bien qu'étant devant dans la file, j'ai dû me résoudre à suivre le concert depuis les gradins... trop de monde dans la fosse lorsque je suis arrivée) ; les petites poufs hystériques, avec leurs T-shirts, jupes écossaises, bracelets et colliers à 'pics' divers, sorties de la mode punkie-dark-rebelle de chez Pimkie et Claire's, qui se la jouent rebelles et gueulent après tout et tout le monde, du style "je n'ai pas peur de dire tout ce que je veux haut et fort" (ou plutôt "je n'ai pas peur de passer pour une p'tite conne sans même m'en rendre compte") ; et autres petits accrocs sans importance. Détails bien vite oubliés une fois le concert commencé.

Le concert en lui-même... Deux premières parties : Colour of fire, et Miossec. Colour of fire, je ne connaissais pas du tout, c'est un groupe anglais, très jeune. La claque! Ils m'ont vraiment étonné et ont tout déchiré ! La semaine prochaine, rendez-vous pris à la Fnac, leur album sort lundi. Miossec. Je ne connaissais pas vraiment plus, surtout de nom, et j'ai dû voir un ou deux clips à la tv. Là aussi j'ai été étonné, ils sont vachement rock sur scène (je ne sais pas si c'est la même chose sur cd...)! Mais à la fin (ils ont joué 1h, contre 1/4 d'h pour Colour of fire), les chansons semblaient assez répétitives, et cela commençait à faire vraiment long pour une simple 1ère partie.

Miossec finit (enfin), les techniciens arrivent afin de tout mettre en place pour Placebo... On trépignait d'impatience... Plusieurs olas, martèlement du sol et des barrières, cris quasi-désespérés, etc... Une demi-heure après (tout de même!), enfin, les lumières s'éteignent, et celles de la scène s'allument...

La suite... quasiment indescriptible. Ce n'est que joie, exaltation, énergie, euphorie, évasion. Je saute, crie, tape des mains, des pieds, danse, bouge dans tous les sens (la liberté de mouvements dans les gradins est vraiment plus importante que dans la fosse !), chante (hurle plutôt), parfois le téléphone dans les mains (Steph, Set... ), d'autres fois un appareil photo, d'autres encore un briquet... La set-list était plus courte que la dernière tournée, mais ils ont joué les principales... Dans le désordre, et avec peut-être quelques oublis : Taste in men, Pure morning, Special K, Every you every me, Without you I'm nothing (avec les frissons en prime), The bitter end, Plasticine, Special needs, The picture, Bulletproof cupid, Black-eyed, Slave to the wage, English summer rain, I'll be yours... Et, comme prévu, Nancy Boy en rappel ! Mais pas de "Protège-moi", ni même la version anglaise, que pourtant je les avais entendu répéter à mon arrivée aux arènes.

Quelques mots (approximatifs) de Brian à divers moments, qui m'ont marqué/touché et que j'ai retenu...
"On a des problèmes techniques ce soir, on ne pourra pas jouer Protège-moi... Le problème technique, c'est que j'ai oublié mon français... Mais on va jouer une autre chanson, pour un ami qui vient de sortir de l'hôpital, David... et pour vous, aussi"... avant de commencer Without you I'm nothing.
(Après avoir demandé aux techniciens des lumières d'éclairer la salle, le public, pour nous voir) "Que c'est beau... Mais que c'est beau..."
"Ça fait 4 ans qu'on n'était pas venu ici... Et ça nous fait vraiment plaisir d'être là ce soir..."

Le concert s'est achevé en un rappel acoustique : Teenage Angst... S'est achevé en beauté... Bien que trop tôt, selon moi, mais c'est toujours beaucoup trop tôt, beaucoup trop court, beaucoup trop rapide.Rentrée chez moi, plus de voix, plus de gorge, plus de mains, plus de bras, plus de jambes... Mais la tête pleine de rêve et d'étoiles...


Merci, Placebo... Merci.

mardi 1 juin 2004

Vide. Plus envie de grand-chose. Ne fais plus grand-chose.


Mais je ne me sens pas mal.

Ni bien.

Juste... rien.

jeudi 20 mai 2004

mardi 18 mai 2004

° Un week-end à Toulouse °

[Ecrit dimanche 16 mai 2004, vers 22h30...]


19h06



Aime... GTO et Fruits Basket en D.A., les glaces artisanales d'Octave, les photos à moitié allongées sur le lit, penser qu’elle La revoit dans deux semaines, L’entendre jouer du piano, les p'tits déj’ au lit, qu’Elle ait été super heureuse en voyant Ses cadeaux, qu’Elle aime son sac Pucca, les photos d’Elle petite, être près d’Elle car elle s’y sent bien, rassurée, et arrive même à retrouver un peu de son humeur "fofolle", écouter Danceteria dans le train du retour (mais non, ça ne fait pas déprimer, hum), ...

N’aime pas... les moments avec Elle qui passent toujours si vite, qu’un mariage sur 3 finisse par un divorce, cette gène à l’idée qu’Elle lise cette lettre remplie de maladresses, le train Grand Sud de ce soir qui la fait s’éloigner d’Elle, se retrouver seule chez elle, avec pour seule compagnie une chaîne hi-fi et un ordinateur sans Internet...

Aime SA CHEWIE !

Un week-end génialissime... alors pourquoi, là, j’ai les mains qui tremblent (j’en ai du mal à écrire), les dents qui mordillent l'intérieur des joues, et des pleurs coincés dans la gorge ?


19h49

dimanche 11 avril 2004

Réflexions dans le train...

Envie de bulles de chewing-gum, de bain moussant, de barbe à papa, de tirage de langue, de sucre sur les doigts...
Envie de sucré, d’édulcoré, d’enfance, de doux, d’insouciance, de ne plus avoir peur...

J’ai toujours peur d’être mal jugée, peu aimée ou pas appréciée... C’est pour ça que je me confie peu aux personnes que je connais (surtout)... peur qu’elles apprennent je-ne-sais-quoi, qui ne leur plairait pas ou du moins changerait, en négatif, leur opinion sur moi...
Je préfère ne pas tenter de changer cette opinion en positif, plutôt que de risquer de la changer en négatif... est-ce une bonne chose ? Je doute... mais pour l’instant, je ne parviens pas à faire autrement...

Peur aussi de trop parler de moi, et de saouler les gens avec des choses qu’ils n’ont sûrement pas envie d’entendre, d’écouter, de savoir (d’après moi)... Peur d’en dire trop, donc je n’en dis pas assez... je pense... peur de trop de choses... et ça me pourrit pas mal la vie...

J'aime ma jumelle.

Quand je suis nerveuse, je ris.

mardi 6 avril 2004

Son dernier post me laisse un goût amer dans la bouche, et des larmes salées dans les yeux...

Peut-être ce souvenir de juin.
Peut-être le fait de tout apprendre sur elle, ses journées, par là.
Peut-être parce que c'est là le seul moyen de nous parler.
Peut-être parce que je ne fais pas partie de ce quotidien.
Peut-être le manque.

Dans tous les cas, vivement samedi.
Vivement le 24 avril, vivement mai, si elle vient...

Besoin d'elle...

dimanche 28 mars 2004

*Aime pas le décalage horaire*
*Aime pas le temps qui passe si vite*
*Aime pas savoir qu'il ne reste que quelques minutes*
*Aime pas la voir partir*
*Aime pas qu'elle soit loin*


Mais superbe soirée... trop courte, comme toujours, mais géniale.

Remontée du moral en flèche.

Garder cette soirée en tête... garder ces mots, ces instants de bonheur...

Merci Jum'... car il n'y a que ce mot, tu sais.

samedi 27 mars 2004

*** 1er jour ***

A mon tour !

Pas un besoin, plutôt une petite envie (passagère peut-être ?) blogueuse. Je ne sais pas encore exactement de quoi tout ceci sera fait. J’ai déjà un cahier papier pour le plus « intime », ce blog se remplira donc au fur et à mesure, de petites choses ne trouvant pas leur place ailleurs.