C’est quand même dingue. De partir en vue d’un concert plus ou moins banal dans une salle un peu paumée, et d’en revenir avec des souvenirs qui surpassent tous les précédents ou presque.
Le 4 avril 2010. Des mois à en parler, quelques jours pour s’organiser, et 18 heures à Blois pour / avec Ghinzu, en condensé.
Paris Gare de Lyon, Austerlitz, hot-dog moutarde et Intercité direction Blois. Carte postale, centre-ville, Suis Jean !, marche interminable. McDo, silhouettes familières, non non non je ne rentre pas, fous rires. Formule 1, test Cosmo spécial enquiquineuses, boa et lunettes multicolores. Taxi, 17€, Chato’do, Mickaël et sa copine. Froid, 19h, billetterie, 1er rang côté Jean, Greg qui traverse la salle. 19h30, Porcelain, pantalon style 70’s et rhinocéros fumeur. 40 minutes, réglages guitares, setlists de Maman, This war is silent en final, Blow absente, set plutôt court. Antoine qui s’invite dans la fosse, Ta-gueule-quelle-vulgarité, pancarte offerte, sacs aux pieds des escaliers, Arghfeelittodefine, photo de Jean. GregMikaJohnJeanAntoine, Mother Allegra et le creux au fond du ventre mais pas de crise de larmes. Mirror Mirror et les mains qui frappent. Dream Maker et les chœurs de Jean. Cold Love et les voix qui montent dans les aigües. Take it Easy et John qui jarte la main d’une groupie. Dragon et le déhanché. Les retours de Jean à quelques centimètres et la prière de John. Dragster Wave et les yeux à demi-clos. 21st Century Crooners et les corps qui se défoulent. Do you read me et le public électrifié. The end of the world et Jean qui nous fait sauter. John qui improvise au piano et nous fait hurler toutes les deux. Chocolate Tube qui s’éternise et le clavier qui déconne. Mine qui nous rend fous et le t-shirt Fuck de Mika. Greg qui mange son micro et ses Take it from you d’une petite voix aigue. Rappel et le pincement au cœur. Ovation et retour pour Kill the Surfers. Greg poussé dans la fosse et John qui se casse la gueule. Clavier souffrant et John qui descend dans la foule. This war is silent et profiter de la dernière. Sortie de scène et moi qui m’écroule dessus. Réglages guitare et un espoir qui renait. Le public qui frappe des mains mais signe de fin. Cordes vocales qui explosent et la foule qui nous suit. Et les 5 belges qui nous reviennent. Twist & Shout balancée et salle survoltée. John au clavier et Blow qui me transperce le cœur. Plumes soufflées sur Jean et son sourire. Dernière forces puisées je-ne-sais-où et fierté au bord des yeux. Please take me somewhere we can hide, somewhere we can dance the boogie. Please give me something, please give me something. Fin, 22h25.
Et le reste. Une setlist récupérée pour Steph, des bouteilles d’eau offertes, des bières à 2€, Je vais leur demander de descendre, Alors il était bon le McDo ?, des gens qui défilent, un concours chaussures, Londres, New-York, les festivals, une surprise en allant aux toilettes, Inch’Allah, les clopes à l’intérieur, ne pas bouger et attendre, des bûcherons et Tiens-toi à Caro, des sourires, des hugs et des bises, MVSC et Las Vegas Parano, Quand vous êtes là ça fait chaud au cœur, 2 visages hallucinés, I feeel intensified, Vivement Montpellier again again and again, Le ski c’est pour les riches, un foulard, des lunettes et un boa, dabel Mac, Kanye West et Blanche-Neige, Mémé 68, un remix de Cold Love, le guitariste trop canon, un pantalon de mariage, C’était vachement bien, la salle de concert vide, les toilettes des mecs, une tentative d’échange de lunettes, des bises et des bonne nuit, les fauteuils rouges, de grands signes ignorés, et le froid extérieur à plus de 2h du mat’.
Après ça. Retour à l’hôtel difficile, un chauffeur de taxi plutôt sympa et les bras de Morphée. Un réveil atrocement cruel, nos jambes plus que douloureuses, nos voix cassées et les restes de bière dans nos estomacs. Taxi obligatoire, brouillard autour de la gare, petit déjeuner de Pâques, Tiens-toi à Caro tout seul et hop, au revoir Blois.
Mirror Mirror / Dream Maker / Cold Love / Take It Easy / Dragon / The Dragster Wave / 21st Century Crooners / Do You Read Me? / The End of the World / Chocolate Tube / Mine // Kill the Surfers / This War is Silent // Twist & Shout / Blow.
Le 4 avril 2010. Des mois à en parler, quelques jours pour s’organiser, et 18 heures à Blois pour / avec Ghinzu, en condensé.
Paris Gare de Lyon, Austerlitz, hot-dog moutarde et Intercité direction Blois. Carte postale, centre-ville, Suis Jean !, marche interminable. McDo, silhouettes familières, non non non je ne rentre pas, fous rires. Formule 1, test Cosmo spécial enquiquineuses, boa et lunettes multicolores. Taxi, 17€, Chato’do, Mickaël et sa copine. Froid, 19h, billetterie, 1er rang côté Jean, Greg qui traverse la salle. 19h30, Porcelain, pantalon style 70’s et rhinocéros fumeur. 40 minutes, réglages guitares, setlists de Maman, This war is silent en final, Blow absente, set plutôt court. Antoine qui s’invite dans la fosse, Ta-gueule-quelle-vulgarité, pancarte offerte, sacs aux pieds des escaliers, Arghfeelittodefine, photo de Jean. GregMikaJohnJeanAntoine, Mother Allegra et le creux au fond du ventre mais pas de crise de larmes. Mirror Mirror et les mains qui frappent. Dream Maker et les chœurs de Jean. Cold Love et les voix qui montent dans les aigües. Take it Easy et John qui jarte la main d’une groupie. Dragon et le déhanché. Les retours de Jean à quelques centimètres et la prière de John. Dragster Wave et les yeux à demi-clos. 21st Century Crooners et les corps qui se défoulent. Do you read me et le public électrifié. The end of the world et Jean qui nous fait sauter. John qui improvise au piano et nous fait hurler toutes les deux. Chocolate Tube qui s’éternise et le clavier qui déconne. Mine qui nous rend fous et le t-shirt Fuck de Mika. Greg qui mange son micro et ses Take it from you d’une petite voix aigue. Rappel et le pincement au cœur. Ovation et retour pour Kill the Surfers. Greg poussé dans la fosse et John qui se casse la gueule. Clavier souffrant et John qui descend dans la foule. This war is silent et profiter de la dernière. Sortie de scène et moi qui m’écroule dessus. Réglages guitare et un espoir qui renait. Le public qui frappe des mains mais signe de fin. Cordes vocales qui explosent et la foule qui nous suit. Et les 5 belges qui nous reviennent. Twist & Shout balancée et salle survoltée. John au clavier et Blow qui me transperce le cœur. Plumes soufflées sur Jean et son sourire. Dernière forces puisées je-ne-sais-où et fierté au bord des yeux. Please take me somewhere we can hide, somewhere we can dance the boogie. Please give me something, please give me something. Fin, 22h25.
Et le reste. Une setlist récupérée pour Steph, des bouteilles d’eau offertes, des bières à 2€, Je vais leur demander de descendre, Alors il était bon le McDo ?, des gens qui défilent, un concours chaussures, Londres, New-York, les festivals, une surprise en allant aux toilettes, Inch’Allah, les clopes à l’intérieur, ne pas bouger et attendre, des bûcherons et Tiens-toi à Caro, des sourires, des hugs et des bises, MVSC et Las Vegas Parano, Quand vous êtes là ça fait chaud au cœur, 2 visages hallucinés, I feeel intensified, Vivement Montpellier again again and again, Le ski c’est pour les riches, un foulard, des lunettes et un boa, dabel Mac, Kanye West et Blanche-Neige, Mémé 68, un remix de Cold Love, le guitariste trop canon, un pantalon de mariage, C’était vachement bien, la salle de concert vide, les toilettes des mecs, une tentative d’échange de lunettes, des bises et des bonne nuit, les fauteuils rouges, de grands signes ignorés, et le froid extérieur à plus de 2h du mat’.
Après ça. Retour à l’hôtel difficile, un chauffeur de taxi plutôt sympa et les bras de Morphée. Un réveil atrocement cruel, nos jambes plus que douloureuses, nos voix cassées et les restes de bière dans nos estomacs. Taxi obligatoire, brouillard autour de la gare, petit déjeuner de Pâques, Tiens-toi à Caro tout seul et hop, au revoir Blois.
Mirror Mirror / Dream Maker / Cold Love / Take It Easy / Dragon / The Dragster Wave / 21st Century Crooners / Do You Read Me? / The End of the World / Chocolate Tube / Mine // Kill the Surfers / This War is Silent // Twist & Shout / Blow.
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