Changement radical de genre pour le concert suivant : Didier Super au Rockstore le jeudi 18 mars.
Premièrement, je ne parlerai pas de la setlist, c’est un peu mission impossible, entre les chansons avortées, les reprises, les remix, les morceaux de 10 secondes, les improvisations, les plantages, et j’en passe. Enfin comme d’habitude, Didier Super sur scène, que ce soit en solo ou en groupe, c’est avant tout un gros bordel. Et avec ses musiciens, y’a juste des guitares acérées et des litres de sueur en plus. Ouais, c’est ça, à peu près.
On a eu tous les tubes ou presque, et tout le monde en a pris pour son grade. Armé de ses lunettes et de son pull en lycra dévoilant son ventre bedonnant, rien ne peut arrêter Didier Super. Qu’il soit au micro, à la guitare, aux claviers, sur scène ou bien perché sur une chaise au beau milieu de la salle. Qu’il nous raconte de la merde, nous chantonne des airs paisibles ou nous balance du rock pur et dur. Qu’il fasse s’asseoir le Rockstore complet ou qu’il provoque un circle pit dont Jared serait jaloux. Qu’il s’éclate du prix du billet, qu’il demande des clopes ou qu’il garde un briquet dans sa poche. Qu’il s’attaque à ses cibles habituelles, aux punks devant lui, à la gamine du premier rang ou aux mecs du fond. Qu’il s’embrouille avec l’ingé lumière, l’ingé son ou les mecs du groupe. Qu’il reprenne Hallelujah, J’ai encore rêvé d’elle ou du Johnny Hallyday.
Avec tout ça, tu peux avoir une vague idée de ce à quoi ça pouvait ressembler. Et encore. Enfin de toute façon, on s’en fout, Didier Super ça ne se raconte pas.
Premièrement, je ne parlerai pas de la setlist, c’est un peu mission impossible, entre les chansons avortées, les reprises, les remix, les morceaux de 10 secondes, les improvisations, les plantages, et j’en passe. Enfin comme d’habitude, Didier Super sur scène, que ce soit en solo ou en groupe, c’est avant tout un gros bordel. Et avec ses musiciens, y’a juste des guitares acérées et des litres de sueur en plus. Ouais, c’est ça, à peu près.
On a eu tous les tubes ou presque, et tout le monde en a pris pour son grade. Armé de ses lunettes et de son pull en lycra dévoilant son ventre bedonnant, rien ne peut arrêter Didier Super. Qu’il soit au micro, à la guitare, aux claviers, sur scène ou bien perché sur une chaise au beau milieu de la salle. Qu’il nous raconte de la merde, nous chantonne des airs paisibles ou nous balance du rock pur et dur. Qu’il fasse s’asseoir le Rockstore complet ou qu’il provoque un circle pit dont Jared serait jaloux. Qu’il s’éclate du prix du billet, qu’il demande des clopes ou qu’il garde un briquet dans sa poche. Qu’il s’attaque à ses cibles habituelles, aux punks devant lui, à la gamine du premier rang ou aux mecs du fond. Qu’il s’embrouille avec l’ingé lumière, l’ingé son ou les mecs du groupe. Qu’il reprenne Hallelujah, J’ai encore rêvé d’elle ou du Johnny Hallyday.
Avec tout ça, tu peux avoir une vague idée de ce à quoi ça pouvait ressembler. Et encore. Enfin de toute façon, on s’en fout, Didier Super ça ne se raconte pas.
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