L’âme de Jack a débarqué sur la Fnac ce 17 novembre après-midi. Géant au cœur détraqué, incarné en ce boute-en-train d’un mètre soixante oh-pas-plus.
Arrivée une heure trente en avance. Forum désert. Petit tour entre les rayons. Reprendre ma place. Seule devant les portes de verre. Une ou deux personnes. Puis cinq. Huit. Quinze. Des dizaines. A ma gauche, présentoir rempli de disques et de livres. Aux couvertures noires parsemées d’éclats de rêves. Mon cœur qui bat de l’apercevoir près de l’entrée. Son costume élégant et sa désinvolture. Notes de musiques sorties de ses instruments. Sa voix sombre et ses yeux pétillants. Et les miens qui scintillent avant même d’entrer.
17h. Atterrissage sur une des chaises du premier rang. Face au micro. Le cœur à 200 d’impatience. Les joues rouges d’émotion.
Et le voilà. Notre Mathias. Survolté et incapable de rester immobile. Son regard planté dans le mien, ses mots qui m’appellent et nos rires qui se lient. La mécanique du cœur qui prend vie sur ses lèvres. Le livre dans ses mains. Les phrases qui résonnent dans mon thorax. Les lunettes d’un jeune homme qui zèbrent son visage. Les personnages qui défilent. Sa guitare sèche pleine d’autocollants et son ukulélé qui les accompagnent par trois fois. When the saints. L’homme sans trucage. Tais-toi mon cœur.
Sa sœur. Son père. Là dans le fond. L’interview et les questions de la professionnelle. L'élaboration du projet, l'écriture du livre, la composition de l'album, les invités-personnages. Puis le tour du public. Le cinéma. Tim Burton. Son doigt pointé vers moi. Tim... dans la salle... déguisé... fille avec un collier... Et mon visage pourpre.
Les dédicaces. Je suis tout près. Trois, deux, un... L’ouvrage magique que je lui tends. Son petit mot unique. Souvenir inégalable. Les mots qui sortent enfin de ma bouche. La question prévue depuis la veille. Montpellier et son absence sur la tournée annoncée. Et m’entendre répondre en forme de promesse pour l’été. Dionysos aux Arènes de Nîmes.
Arrivée une heure trente en avance. Forum désert. Petit tour entre les rayons. Reprendre ma place. Seule devant les portes de verre. Une ou deux personnes. Puis cinq. Huit. Quinze. Des dizaines. A ma gauche, présentoir rempli de disques et de livres. Aux couvertures noires parsemées d’éclats de rêves. Mon cœur qui bat de l’apercevoir près de l’entrée. Son costume élégant et sa désinvolture. Notes de musiques sorties de ses instruments. Sa voix sombre et ses yeux pétillants. Et les miens qui scintillent avant même d’entrer.
17h. Atterrissage sur une des chaises du premier rang. Face au micro. Le cœur à 200 d’impatience. Les joues rouges d’émotion.
Et le voilà. Notre Mathias. Survolté et incapable de rester immobile. Son regard planté dans le mien, ses mots qui m’appellent et nos rires qui se lient. La mécanique du cœur qui prend vie sur ses lèvres. Le livre dans ses mains. Les phrases qui résonnent dans mon thorax. Les lunettes d’un jeune homme qui zèbrent son visage. Les personnages qui défilent. Sa guitare sèche pleine d’autocollants et son ukulélé qui les accompagnent par trois fois. When the saints. L’homme sans trucage. Tais-toi mon cœur.
Sa sœur. Son père. Là dans le fond. L’interview et les questions de la professionnelle. L'élaboration du projet, l'écriture du livre, la composition de l'album, les invités-personnages. Puis le tour du public. Le cinéma. Tim Burton. Son doigt pointé vers moi. Tim... dans la salle... déguisé... fille avec un collier... Et mon visage pourpre.
Les dédicaces. Je suis tout près. Trois, deux, un... L’ouvrage magique que je lui tends. Son petit mot unique. Souvenir inégalable. Les mots qui sortent enfin de ma bouche. La question prévue depuis la veille. Montpellier et son absence sur la tournée annoncée. Et m’entendre répondre en forme de promesse pour l’été. Dionysos aux Arènes de Nîmes.
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