Un 27 novembre. Allongée sur mon lit. Une phrase en rouge sur l'écran. Message. Hollywood Porn Stars. Invitation.
Début de soirée. Un peu d'avance. Rockstore désert. Yeux qui se baladent sur les affiches. Faire les cent pas. Nous voilà trois. Mon avis sur les deux groupes de la soirée. Deux petites emos de plus. Les marches froides. 19h30, les barrières. Se lever. Moins de dix personnes. 20h, ouverture de la billetterie. Mon nom. Et entre mes doigts, l'invitation n°0001. Fouille rapide de mon sac, passer les portes. Et le Rockstore vide qui s'offre à moi. Retour chez moi. Traverser la salle, mon sac sur la scène. Et profiter des petites minutes seule ou presque dans ma salle mythique.
Une vingtaine de personnes présentes, moi seule à l'avant. 20h30, Quidam qui monte sur la scène. Retrouvailles. Souvenirs du Bataclan. Prestation pas vraiment meilleure. Mais rapide. Ponctuée de grands sourires du chanteur qui ne cesse de venir jouer en face de moi. 21h10, au revoir.
Une cinquantaine de personnes. Pas vraiment plus. Dans cette salle qui peut en contenir un millier. Ma solitude qui se trouve 3 compagnons de premier rang. Dont le photographe pro de la soirée. 21h30. Les 4 sur scène. Anthony en face de moi. Emotion. Tests de son, sortie, lumières, et ils remontent.
Setlist mêlant les deux albums et même leur EP. Energie débordante. Public restreint mais l'ambiance est là. Et sur la scène, ils se donnent comme si la salle était pleine.
La fête. Plus rien n'existe. Je ne vois rien d'autre qu'eux. Je ne ressens rien d'autre qu'eux. Je ne suis qu'avec eux.
Des photos dans tous les sens. Des lumières de rêve.
Une quinzaine de chansons. Et Anthony qui saute de scène. Se mêle à nous. Passe entre les audacieux des premiers rangs. Et lâche sa guitare, la rouge, ma préférée, à mon voisin de droite. Remplaçant judicieux. Pendant qu'Anthony, de retour sur scène, se joint à Ben, derrières les futs, baguettes aux mains, sourire aux lèvres.
Sortie de scène. Une ou deux minutes qui s'écoule, avant le rappel. Trois dernières chansons. Compliments d'Anthony sur le cadre qui nous accueille. Et la toute dernière.
Un au revoir au goût de trop peu. Mais les lumières qui se rallument déjà. Poser la main sur la scène. Une fiche de paroles. Et une setlist tendue gentiment.
Le temps de me retourner et ils sont déjà au merch'. Parler de Ghinzu, de Montpellier, des Solidays d'il y a 2 ans, ... Quête d'autographes, et ce seront des petites dédicaces qui me seront offerte. Ainsi qu'un badge, de la part d'Anthony.
Temps de partir. Petite photo souvenir pour la route. Echange de mail avec le photographe. Et mes ongles rouges qui gratteront le scotch pour récupérer une affiche fétiche.
Winona / Ben's dead / Money / Andy / Young girls / Hollybody / Jack Black / Islands / Diamond / The fugitive / Betty / Crimes / Actarus / Walking cash machine / I want you // Starwest / Dance rocket / There's a god.
Début de soirée. Un peu d'avance. Rockstore désert. Yeux qui se baladent sur les affiches. Faire les cent pas. Nous voilà trois. Mon avis sur les deux groupes de la soirée. Deux petites emos de plus. Les marches froides. 19h30, les barrières. Se lever. Moins de dix personnes. 20h, ouverture de la billetterie. Mon nom. Et entre mes doigts, l'invitation n°0001. Fouille rapide de mon sac, passer les portes. Et le Rockstore vide qui s'offre à moi. Retour chez moi. Traverser la salle, mon sac sur la scène. Et profiter des petites minutes seule ou presque dans ma salle mythique.
Une vingtaine de personnes présentes, moi seule à l'avant. 20h30, Quidam qui monte sur la scène. Retrouvailles. Souvenirs du Bataclan. Prestation pas vraiment meilleure. Mais rapide. Ponctuée de grands sourires du chanteur qui ne cesse de venir jouer en face de moi. 21h10, au revoir.
Une cinquantaine de personnes. Pas vraiment plus. Dans cette salle qui peut en contenir un millier. Ma solitude qui se trouve 3 compagnons de premier rang. Dont le photographe pro de la soirée. 21h30. Les 4 sur scène. Anthony en face de moi. Emotion. Tests de son, sortie, lumières, et ils remontent.
Setlist mêlant les deux albums et même leur EP. Energie débordante. Public restreint mais l'ambiance est là. Et sur la scène, ils se donnent comme si la salle était pleine.
La fête. Plus rien n'existe. Je ne vois rien d'autre qu'eux. Je ne ressens rien d'autre qu'eux. Je ne suis qu'avec eux.
Des photos dans tous les sens. Des lumières de rêve.
Une quinzaine de chansons. Et Anthony qui saute de scène. Se mêle à nous. Passe entre les audacieux des premiers rangs. Et lâche sa guitare, la rouge, ma préférée, à mon voisin de droite. Remplaçant judicieux. Pendant qu'Anthony, de retour sur scène, se joint à Ben, derrières les futs, baguettes aux mains, sourire aux lèvres.
Sortie de scène. Une ou deux minutes qui s'écoule, avant le rappel. Trois dernières chansons. Compliments d'Anthony sur le cadre qui nous accueille. Et la toute dernière.
Un au revoir au goût de trop peu. Mais les lumières qui se rallument déjà. Poser la main sur la scène. Une fiche de paroles. Et une setlist tendue gentiment.
Le temps de me retourner et ils sont déjà au merch'. Parler de Ghinzu, de Montpellier, des Solidays d'il y a 2 ans, ... Quête d'autographes, et ce seront des petites dédicaces qui me seront offerte. Ainsi qu'un badge, de la part d'Anthony.
Temps de partir. Petite photo souvenir pour la route. Echange de mail avec le photographe. Et mes ongles rouges qui gratteront le scotch pour récupérer une affiche fétiche.
Winona / Ben's dead / Money / Andy / Young girls / Hollybody / Jack Black / Islands / Diamond / The fugitive / Betty / Crimes / Actarus / Walking cash machine / I want you // Starwest / Dance rocket / There's a god.
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