My Own Private Alaska, je ne connaissais que le nom et avais un bref a priori du genre « mec qui gueule pas mal », et puis ce 3 juillet j’ai eu envie de m’aventurer à l’Antirouille pour les découvrir sur scène, négligeant volontairement une pré-écoute sur le net. Alors je fus la première étonnée de finir le set les larmes aux yeux.
Ce sont les régionaux Morse qui ont lancé la soirée, avec pour mission de réveiller la salle un peu endormie depuis l’ouverture des portes une heure plus tôt. Au programme, cordes qui souffrent, micro qui hurle, lumières stroboscopiques et leader qui en fait des tonnes, se roulant par terre, montant sur les tables et les chaises, et bousculant le public. Pas le temps de se lasser, en 20 minutes c’était plié.
Les 3 toulousains de MOPA ont débarqué sur les coups de 23h au milieu de toiles suspendues à des chaînes, et ont introduit leur set par la présentation de la setlist, avant de rejoindre leurs places, assises. Micro et piano se font face, au milieu trône la batterie. Et ensuite, le choc, l’émotion.
Ne connaissant pas les morceaux, je serais dans l’incapacité la plus complète de décrire le concert titre par titre. Ce que je sais, c’est que l’absence d’instruments électriques était bien loin de créer un manque. La force des notes, des rythmes et du chant ont suffit à emporter tout le monde ailleurs. A eux trois, ils ont créé et amené une atmosphère, lourde et sensible à la fois. A fleur de peau. Leurs morceaux nous éclatant au visage pour ensuite s’insinuer dans chaque pore, laissant une étrange impression, celle d’être face à une âme mise à nue, hurlante et gémissante. Leur reprise de Where did you sleep last night de Nirvana m’a terrassé, et leur façon de revisiter le culte I gotta feeling des Black Eyed Peas m’a subjugué.
Une toute petite heure sur scène, mais en un mot, j’ai été BLUFFÉE.
Ce sont les régionaux Morse qui ont lancé la soirée, avec pour mission de réveiller la salle un peu endormie depuis l’ouverture des portes une heure plus tôt. Au programme, cordes qui souffrent, micro qui hurle, lumières stroboscopiques et leader qui en fait des tonnes, se roulant par terre, montant sur les tables et les chaises, et bousculant le public. Pas le temps de se lasser, en 20 minutes c’était plié.
Les 3 toulousains de MOPA ont débarqué sur les coups de 23h au milieu de toiles suspendues à des chaînes, et ont introduit leur set par la présentation de la setlist, avant de rejoindre leurs places, assises. Micro et piano se font face, au milieu trône la batterie. Et ensuite, le choc, l’émotion.
Ne connaissant pas les morceaux, je serais dans l’incapacité la plus complète de décrire le concert titre par titre. Ce que je sais, c’est que l’absence d’instruments électriques était bien loin de créer un manque. La force des notes, des rythmes et du chant ont suffit à emporter tout le monde ailleurs. A eux trois, ils ont créé et amené une atmosphère, lourde et sensible à la fois. A fleur de peau. Leurs morceaux nous éclatant au visage pour ensuite s’insinuer dans chaque pore, laissant une étrange impression, celle d’être face à une âme mise à nue, hurlante et gémissante. Leur reprise de Where did you sleep last night de Nirvana m’a terrassé, et leur façon de revisiter le culte I gotta feeling des Black Eyed Peas m’a subjugué.
Une toute petite heure sur scène, mais en un mot, j’ai été BLUFFÉE.
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