Et 30 Seconds to Mars, acte II. Alors qu’il y a moins d'un an, j’osais à peine rêver d’une seule, un jour...
Jeudi 31 mai, un peu plus de 11h, je débarque devant l’Elysée Montmartre, après 4h de transport. Une centaine de personnes, encore aucune tête de connue. Sac posé dans un coin, l’attente commence.
Du bruit, je lève les yeux. Voilà la Street Team, toute de noir et rouge vêtue. Rejointe rapidement par l’Empereur et le frère de la star du jour. Bonjours rapides, visages connus pour certains, d’autres que je découvre derrière les pseudos. Avant de les laisser pour leur tournée de flyers.
Attente avec Gary, Hoan et Arthur. Et YouXxX qui nous rejoindra plus tard.
Pluie. Sortir le parapluie, s’y abriter à 5 tant bien que mal. Cris perçants des biscuits au brushing parfait. Portes qui s’ouvrent plus tôt. Cacher l’appareil photo, tendre le sac et la place. Entrée dans la salle. Fin des balances de We Are The Physics en face de nous.
Plus d’une heure à attendre, encore. Et enfin le groupe écossais tant redouté qui arrive sur scène. Bruit. Rires jaunes et regards méfiants échangés avec mon acolyte du jour. Envoyer un texto désespéré vers l’Angleterre. Soupir de soulagement à la fin de leur set. Jusqu’à l’arrivée d’un message leur demandant de jouer encore un peu plus.
[...]
Carmina Burana qui me transperce de l’intérieur. Je ne suis plus là. Ailleurs.
La force de Battle of One. Le wristband rouge au poignet de Jared. La découverte de Tim. La majorité de groupies. Les mouvements de foule qui rendent le concert impossible à suivre. Les cris hystériques. Me reculer un peu. Un mètre. Mieux profiter. Des moments mémorables. Jared demandant qui était là la première fois, au Bataclan. Cris et mains levées. Qui vient les voir pour la première fois. Autant de cris et mêmes mains levées. Qui ne comprend rien à ce qu’il dit. Rires. Dans le même genre, Jared demandant aux mecs de crier. Cris hystériques de groupies. Chut les filles. Xela et son cadeau. Play oblivion or you’ll be exterminated and put the string on your head. Quelques notes rapides offertes. The Kill annoncée par Shannon. Jared, string sur la tête, qui escalade le pilier au milieu de la foule. Et encore lui qui s'essaie au français. J'aime la France... et ses nombreuses tentatives. Et le moment magique de la soirée : Hunter. Frissons. Yeux fermés. Planer. Sa voix parfaite. Le calme qui règne. Un bijou.
Passage au merch'. Hésitations, et repartir avec un hoodie.
Dédicaces rapides en compagnie de la Street Team. Trois signatures griffonnées sur mon livret d’ABL. Tomo et Shannon débordés, les yeux rivés sur leurs stylos. Un merci et un regard de Jared.
[...]
Nuit blanche entre Echelons. Quelques verres dans le pub au rideau de fer baissé. Regagner la petite place. S’asseoir en cercle. Rappels de la soirée. Eclats de rire. Avant de regagner métro et gare au petit matin.
Jeudi 31 mai, un peu plus de 11h, je débarque devant l’Elysée Montmartre, après 4h de transport. Une centaine de personnes, encore aucune tête de connue. Sac posé dans un coin, l’attente commence.
Du bruit, je lève les yeux. Voilà la Street Team, toute de noir et rouge vêtue. Rejointe rapidement par l’Empereur et le frère de la star du jour. Bonjours rapides, visages connus pour certains, d’autres que je découvre derrière les pseudos. Avant de les laisser pour leur tournée de flyers.
Attente avec Gary, Hoan et Arthur. Et YouXxX qui nous rejoindra plus tard.
Pluie. Sortir le parapluie, s’y abriter à 5 tant bien que mal. Cris perçants des biscuits au brushing parfait. Portes qui s’ouvrent plus tôt. Cacher l’appareil photo, tendre le sac et la place. Entrée dans la salle. Fin des balances de We Are The Physics en face de nous.
Plus d’une heure à attendre, encore. Et enfin le groupe écossais tant redouté qui arrive sur scène. Bruit. Rires jaunes et regards méfiants échangés avec mon acolyte du jour. Envoyer un texto désespéré vers l’Angleterre. Soupir de soulagement à la fin de leur set. Jusqu’à l’arrivée d’un message leur demandant de jouer encore un peu plus.
[...]
Carmina Burana qui me transperce de l’intérieur. Je ne suis plus là. Ailleurs.
La force de Battle of One. Le wristband rouge au poignet de Jared. La découverte de Tim. La majorité de groupies. Les mouvements de foule qui rendent le concert impossible à suivre. Les cris hystériques. Me reculer un peu. Un mètre. Mieux profiter. Des moments mémorables. Jared demandant qui était là la première fois, au Bataclan. Cris et mains levées. Qui vient les voir pour la première fois. Autant de cris et mêmes mains levées. Qui ne comprend rien à ce qu’il dit. Rires. Dans le même genre, Jared demandant aux mecs de crier. Cris hystériques de groupies. Chut les filles. Xela et son cadeau. Play oblivion or you’ll be exterminated and put the string on your head. Quelques notes rapides offertes. The Kill annoncée par Shannon. Jared, string sur la tête, qui escalade le pilier au milieu de la foule. Et encore lui qui s'essaie au français. J'aime la France... et ses nombreuses tentatives. Et le moment magique de la soirée : Hunter. Frissons. Yeux fermés. Planer. Sa voix parfaite. Le calme qui règne. Un bijou.
Passage au merch'. Hésitations, et repartir avec un hoodie.
Dédicaces rapides en compagnie de la Street Team. Trois signatures griffonnées sur mon livret d’ABL. Tomo et Shannon débordés, les yeux rivés sur leurs stylos. Un merci et un regard de Jared.
[...]
Nuit blanche entre Echelons. Quelques verres dans le pub au rideau de fer baissé. Regagner la petite place. S’asseoir en cercle. Rappels de la soirée. Eclats de rire. Avant de regagner métro et gare au petit matin.
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