Hier soir, il y avait une spéciale Mylène Farmer, sur mcm. J’ai enfin vu le clip de Sans logique. Celui où elle, en femme taureau, embroche le toréador. La même scène que celle évoquée dans Attentat, d’Amélie Nothomb.
En zappant sur la nouvelle chaîne musicale du satellite, je suis tombé sur un clip de Monsieur Lune. Ce petit groupe qui a donné un concert devant une vingtaine de personnes, il y a deux semaines, à l’Antirouille de Montpellier, et auquel on s’était incrusté avec Steph, sans payer. Ce groupe-là qui nous avait bien fait rire, avec son chanteur malheureux en amour, et qui ne cessait de le répéter, son violoniste et ses chuchotements censés faire les choeurs, son claviériste et sa coupe de cheveux, son violoncelliste bassiste, et son autre musicien aux instruments plus étranges les uns que les autres.
Je me suis réveillée avec les Red Hot, ce matin. Et avant de partir pour ma journée à Montpellier, je me suis plantée devant mon étagère à cd. Dur dur de choisir quel son va chatouiller mes oreilles durant ces longues heures. C’est finalement Ghinzu qui a atterri dans mon lecteur cd portable. Avec Oasis comme compagnon de route, au cas où je voudrais alterner. Mais Ghinzu a suffit. 7 fois. 7 fois, je l’ai écouté. Dans le train, dans le tram, dans les rues. En boucle. Et en rentrant, je me le suis mis sur le pc. Je viens d’entamer ma 11ème écoute de la journée. Et toujours pas lassée. Un record.
Et la photo, là-haut, c’est un souvenir d’une sorte de mini rave, sur la place de la Com’, du week-end d’il y a deux semaines. Rien n’arrête un monde qui danse.
En zappant sur la nouvelle chaîne musicale du satellite, je suis tombé sur un clip de Monsieur Lune. Ce petit groupe qui a donné un concert devant une vingtaine de personnes, il y a deux semaines, à l’Antirouille de Montpellier, et auquel on s’était incrusté avec Steph, sans payer. Ce groupe-là qui nous avait bien fait rire, avec son chanteur malheureux en amour, et qui ne cessait de le répéter, son violoniste et ses chuchotements censés faire les choeurs, son claviériste et sa coupe de cheveux, son violoncelliste bassiste, et son autre musicien aux instruments plus étranges les uns que les autres.
Je me suis réveillée avec les Red Hot, ce matin. Et avant de partir pour ma journée à Montpellier, je me suis plantée devant mon étagère à cd. Dur dur de choisir quel son va chatouiller mes oreilles durant ces longues heures. C’est finalement Ghinzu qui a atterri dans mon lecteur cd portable. Avec Oasis comme compagnon de route, au cas où je voudrais alterner. Mais Ghinzu a suffit. 7 fois. 7 fois, je l’ai écouté. Dans le train, dans le tram, dans les rues. En boucle. Et en rentrant, je me le suis mis sur le pc. Je viens d’entamer ma 11ème écoute de la journée. Et toujours pas lassée. Un record.
Et la photo, là-haut, c’est un souvenir d’une sorte de mini rave, sur la place de la Com’, du week-end d’il y a deux semaines. Rien n’arrête un monde qui danse.
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