Je n’ai toujours pas assimilé. La nouvelle d’hier. Annulée. Non. Il ne peut pas. Il ne peut pas. Putain. Je commençais tout juste. Depuis des mois. A réaliser. Que j’allais enfin le (re)voir. Et je n’arrive pas. Depuis un peu plus de 24h. A réaliser. Que je ne vais pas le voir. Non, il ne peut pas...
Imaginez. Le groupe/chanteur/musicien/... dont vous êtes "fan". Celui que vous suivez depuis des années et des années. Sans compter. Sans faillir. Celui que vous écoutez pendants des heures sans vous lasser. En le trouvant même à chaque fois encore plus talentueux et surprenant. Ce groupe/chanteur/... qui a partagé tant de vous, tant de votre vie. Des larmes, des sourires, des anniversaires, des heures de solitude, des voyages en train, en voiture, des trajets jusqu’au lycée, des moments sur des bancs, d’autres dans l’herbe. Celui qui peut vous remuer les tripes comme le corps. Le groupe/chanteur/... de votre vie, quoi.
Celui-là même qui a été le premier concert de votre vie. Qui vous y a ébloui. Séduit. Encore plus que vous ne l’étiez déjà (si si, c’est possible). Celui qui ne fait qu’une seule date en France tous les deux-trois ans. Dont vous attendez et espérez la venue plus ardemment qu’autre chose. Celui qui, un jour de printemps, annonce une tournée européenne hors du commun. Et un spectacle parisien événementiel. Quelques jours après. Mise en vente des billets. A la première heure, le vôtre précieusement dans votre sac. Pendant des mois vous le chérissez. Le regardez en rêvant au jour inscrit sur le papier bleu. Ce jour qui approche. Un mois avant l’événement. Vous commencez un compte à rebours journalier.
A J-21. L’excitation qui grandit, l’impatience qui se fait de plus en plus forte. J-21. Et vous le reverrez, enfin. J-21. Vous apprenez que. « Eminem announced today that he will be canceling his European tour dates, which run from September 1st through 17th. Eminem is currently being treated for exhaustion, complicated by other medical issues. The shows are not expected to be rescheduled. »
Merde.
Imaginez. Le groupe/chanteur/musicien/... dont vous êtes "fan". Celui que vous suivez depuis des années et des années. Sans compter. Sans faillir. Celui que vous écoutez pendants des heures sans vous lasser. En le trouvant même à chaque fois encore plus talentueux et surprenant. Ce groupe/chanteur/... qui a partagé tant de vous, tant de votre vie. Des larmes, des sourires, des anniversaires, des heures de solitude, des voyages en train, en voiture, des trajets jusqu’au lycée, des moments sur des bancs, d’autres dans l’herbe. Celui qui peut vous remuer les tripes comme le corps. Le groupe/chanteur/... de votre vie, quoi.
Celui-là même qui a été le premier concert de votre vie. Qui vous y a ébloui. Séduit. Encore plus que vous ne l’étiez déjà (si si, c’est possible). Celui qui ne fait qu’une seule date en France tous les deux-trois ans. Dont vous attendez et espérez la venue plus ardemment qu’autre chose. Celui qui, un jour de printemps, annonce une tournée européenne hors du commun. Et un spectacle parisien événementiel. Quelques jours après. Mise en vente des billets. A la première heure, le vôtre précieusement dans votre sac. Pendant des mois vous le chérissez. Le regardez en rêvant au jour inscrit sur le papier bleu. Ce jour qui approche. Un mois avant l’événement. Vous commencez un compte à rebours journalier.
A J-21. L’excitation qui grandit, l’impatience qui se fait de plus en plus forte. J-21. Et vous le reverrez, enfin. J-21. Vous apprenez que. « Eminem announced today that he will be canceling his European tour dates, which run from September 1st through 17th. Eminem is currently being treated for exhaustion, complicated by other medical issues. The shows are not expected to be rescheduled. »
Merde.
Imaginez. Tout ça. Alors, vous avez le droit de le détester, maintenant, n’est-ce pas ?
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