Quelques jours plus tard, le 24 juin précisément, je suis partie retrouver de nouveau The Rodeo sur scène, pour le premier concert d’un long week-end. Pas besoin d’aller loin cette fois puisqu’ils passaient juste chez moi.
On a eu droit à Jamie Cullum en musique d’attente, et ensuite, même pas de première partie, Dorothée et Jean se sont présentés à pas feutrés, devant le plus petit public que j’ai pu voir au Rockstore. Les photographes, professionnels ou amateurs, voguant tout autour de la scène. Des timides, en retrait vers les tables. Quelques audacieux, s’approchant au fur et à mesure de leur découverte. Et moi, au milieu, les yeux brillants.
A partir des premiers titres quasi tubesques, la setlist m’a semblé très semblable à celle de Tourcoing. Et pourtant, rien ne sonnait de la même façon. Jusqu’à en avoir les larmes aux yeux sur Ode to You, où la voix aigüe teintée de fragilité a pris possession de l’espace vide. L’atmosphère est restée unique tout au long des morceaux, dans cette salle particulière, plus intime encore qu’à son habitude.
J’ai cette fois pu mieux profiter du jeu de Jean à la batterie et de toute sa panoplie d’instruments plus ou moins insolites. Le long tube de plastique comme l’accordéon étaient encore une fois à l’honneur, pour mon plus grand bonheur. Sans oublier les petites clochettes, qu’il prenait soin de manipuler subtilement lorsqu’elles devaient rester silencieuses.
Dorothée l’a évoqué juste avant Little Soldier, leur présence ici se faisait dans le cadre du Festival du Roman Noir et d’une soirée hommage à Johnny Cash. A cette occasion, en fin de set, elle a annoncé deux reprises du Monsieur. La première étant une chanson qu’il a reprise et qui s’appelle Hurt. J’ai eu des frissons rien qu’à l’attendre prononcer ces mots, et plus encore pendant le morceau.
Le rappel leur a valu de chaleureux applaudissements et des cris venus de toutes parts, nous faisant passer pour au moins 10 fois plus nombreux qu’on n’était en réalité. A leur retour, après avoir salués notre engouement, nous avoir remerciés d'être venus et invités à les retrouver une autre fois, Dorothée m’a offert un moment des plus touchants. Ainsi, son « ... elle se reconnaîtra » accompagné d'un joli sourire dans ma direction a dû me valoir deux joues rouges bien de rigueur.
Après ça ils ont terminé sur Cha Cha Cha comme quelques jours plus tôt, mais les Beautiful People m’ont juste donné envie d’encore. A défaut d’encore il y a eu la suite, hors scène. Et le retour chez moi la tête et les bras chargés de souvenirs.
People Know / On the Radio / Your Love is Huge / My Ode to You / Modern Life / Uncle Sam / Hand Shadows / Little Soldier / I’m Gonna Leave You / High Resolution Word / Hurt (cover) / Ring of Fire (cover) // Cha Cha Cha.
On a eu droit à Jamie Cullum en musique d’attente, et ensuite, même pas de première partie, Dorothée et Jean se sont présentés à pas feutrés, devant le plus petit public que j’ai pu voir au Rockstore. Les photographes, professionnels ou amateurs, voguant tout autour de la scène. Des timides, en retrait vers les tables. Quelques audacieux, s’approchant au fur et à mesure de leur découverte. Et moi, au milieu, les yeux brillants.
A partir des premiers titres quasi tubesques, la setlist m’a semblé très semblable à celle de Tourcoing. Et pourtant, rien ne sonnait de la même façon. Jusqu’à en avoir les larmes aux yeux sur Ode to You, où la voix aigüe teintée de fragilité a pris possession de l’espace vide. L’atmosphère est restée unique tout au long des morceaux, dans cette salle particulière, plus intime encore qu’à son habitude.
J’ai cette fois pu mieux profiter du jeu de Jean à la batterie et de toute sa panoplie d’instruments plus ou moins insolites. Le long tube de plastique comme l’accordéon étaient encore une fois à l’honneur, pour mon plus grand bonheur. Sans oublier les petites clochettes, qu’il prenait soin de manipuler subtilement lorsqu’elles devaient rester silencieuses.
Dorothée l’a évoqué juste avant Little Soldier, leur présence ici se faisait dans le cadre du Festival du Roman Noir et d’une soirée hommage à Johnny Cash. A cette occasion, en fin de set, elle a annoncé deux reprises du Monsieur. La première étant une chanson qu’il a reprise et qui s’appelle Hurt. J’ai eu des frissons rien qu’à l’attendre prononcer ces mots, et plus encore pendant le morceau.
Le rappel leur a valu de chaleureux applaudissements et des cris venus de toutes parts, nous faisant passer pour au moins 10 fois plus nombreux qu’on n’était en réalité. A leur retour, après avoir salués notre engouement, nous avoir remerciés d'être venus et invités à les retrouver une autre fois, Dorothée m’a offert un moment des plus touchants. Ainsi, son « ... elle se reconnaîtra » accompagné d'un joli sourire dans ma direction a dû me valoir deux joues rouges bien de rigueur.
Après ça ils ont terminé sur Cha Cha Cha comme quelques jours plus tôt, mais les Beautiful People m’ont juste donné envie d’encore. A défaut d’encore il y a eu la suite, hors scène. Et le retour chez moi la tête et les bras chargés de souvenirs.
People Know / On the Radio / Your Love is Huge / My Ode to You / Modern Life / Uncle Sam / Hand Shadows / Little Soldier / I’m Gonna Leave You / High Resolution Word / Hurt (cover) / Ring of Fire (cover) // Cha Cha Cha.
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