Il y a 10 jours, c’était le Nouvel An Belge à Montmartre. Je zapperai le début du week-end avec l’arrivée de Steph chez moi, le voyage en train et notre après-midi parisien avec les garçons, même si c’était vraiment chouette tout ça aussi, pour aller directement à l’essentiel.
Après un apéro tardif et prolongé, c’est sur les coups de 23h qu’on grimpe les marches de l’Elysée Montmartre. Sur scène, Piano Club aux platines, derrière lesquelles je reconnais Anthony Sinatra des HPS. Ils sont 3 ou 4 à alterner leurs places, et leur set nous donne le temps de boire quelques bières, belges évidemment, tout en nous laissant nous imprégner du ton de la soirée.
Ils sortent de scène petit à petit et je tire les filles vers les premiers rangs avec l’espoir d’un visage connu à venir. Je ne me trompe pas, peu après c’est MVSC qui arrive pour chauffer la salle ! Coups d’œil vers Steph et excitation palpable lorsque Jean, pas vu depuis 2 mois, se place en face de nous. On reconnait certains morceaux et d’autres moins, on s’étonne de certaines notes piquées à Ghinzu et on profite de leur toute première date en France. Le set est énorme, les mecs sont énergiques, le mélange électro et rock est parfaitement dosé, le tout envoie encore plus de puissance qu’en version studio, la batterie et la guitare des deux frères font vibrer les corps ! Et bordel, voir 3/4 de Montevideo et Jean qui chante tout seul et pas juste pour les chœurs, c’est... fort.
Après une courte pause, il est déjà plus d’1h du matin, et ce sont les très attendus Vive la Fête qui enflamment la foule. Je connaissais rapidement version studio, sans vraiment adhérer ni détester, mais j'en avais tellement entendu à propos de leurs performances live que j'avais hâte de les voir enfin. Et en effet, ils emportent l’Elysée Montmartre et font monter la température à 1000 degrés en un rien de temps. La majorité du public (belge pour la plupart) est apparemment là pour eux, et tout le monde sa lâche complètement, ça saute et ça crie de tous les côtés, Steph s’aventure dans les pogos des premiers rangs et je ne tarde pas à la suivre. Sautant un peu partout et poussée de tous les côtés, c'était parfait à vivre comme ça.
Le temps de se rafraichir rapidement, de croiser Pierre W., et il est 2h13 tapantes, l’heure de cette "nouvelle année", le compte à rebours est repris par la foule pendant que des goodies aux couleurs belges sont jetés de scène, et enfin explosent les canons à confettis, des rouge, des jaune et des noir flottent au-dessus de nos têtes, tout le monte s’embrasse, les plus parfaits inconnus nous font la bise et un chapeau atterrit sur la tête de Steph.
Rapide apparition d’un sosie de Johnny Hallyday pour quelques chansons et je croise Mr Veste-en-cuir en cherchant les filles près du 3ème pilier. Grand sourire mythique et regards silencieux entre deux bises et une bonne année souhaitée, puis il s’échappe entre les rideaux noirs vers sa seconde prestation. Je retrouve les filles alors que nos très attendus John & Jean sont déjà sur scène et c’est en nous faufilant avec plus ou moins de mal que nous regagnons les premiers rangs. S’en suit un dj set de folie alors que les barrières s’offrent à nous : Prodigy, Mr Oizo, MGMT, Gossip, Ghinzu, Motorhead, Daft Punk, et d’autres morceaux légendaires s’enchainent, les corps se serrent et s’échauffent, la chaleur se fait suffocante, mes jambes ont de plus en plus de mal à me supporter et je crains de ne pas tenir le coup jusqu’au bout, mais je ne songe pas à m’arrêter une seule seconde, les yeux fermés ou bien plongés vers les leurs, je saute sans ménagement, mes bras remuant dans tous les sens et l’esprit complètement déconnecté. Le final sur Purple Rain m’achève, je finis entièrement trempée et totalement à bout de force, mais putain que c'était bon.
Ruée vers le bar pour essayer de nous remettre, au son des Waxdolls et des suivants que je ne suis que d’une oreille distraite. Regard dans le vague, j’aperçois quelques visages connus qui nous croisent, et lorsque je manque de m’allonger sur la table, je sors retrouver les fumeuses après une dernière bise à John.
Le reste de la nuit mériterait encore des dizaines de lignes, rien que pour raconter la recherche intensive de nourriture et le fight autour du poulet, ou évoquer le soi-disant étudiant en psychologie qui nous sort des trucs de magazines, mais c’est pas comme si ce genre de trucs nous arrivait TOUT LE TEMPS, voyons.
Après un apéro tardif et prolongé, c’est sur les coups de 23h qu’on grimpe les marches de l’Elysée Montmartre. Sur scène, Piano Club aux platines, derrière lesquelles je reconnais Anthony Sinatra des HPS. Ils sont 3 ou 4 à alterner leurs places, et leur set nous donne le temps de boire quelques bières, belges évidemment, tout en nous laissant nous imprégner du ton de la soirée.
Ils sortent de scène petit à petit et je tire les filles vers les premiers rangs avec l’espoir d’un visage connu à venir. Je ne me trompe pas, peu après c’est MVSC qui arrive pour chauffer la salle ! Coups d’œil vers Steph et excitation palpable lorsque Jean, pas vu depuis 2 mois, se place en face de nous. On reconnait certains morceaux et d’autres moins, on s’étonne de certaines notes piquées à Ghinzu et on profite de leur toute première date en France. Le set est énorme, les mecs sont énergiques, le mélange électro et rock est parfaitement dosé, le tout envoie encore plus de puissance qu’en version studio, la batterie et la guitare des deux frères font vibrer les corps ! Et bordel, voir 3/4 de Montevideo et Jean qui chante tout seul et pas juste pour les chœurs, c’est... fort.
Après une courte pause, il est déjà plus d’1h du matin, et ce sont les très attendus Vive la Fête qui enflamment la foule. Je connaissais rapidement version studio, sans vraiment adhérer ni détester, mais j'en avais tellement entendu à propos de leurs performances live que j'avais hâte de les voir enfin. Et en effet, ils emportent l’Elysée Montmartre et font monter la température à 1000 degrés en un rien de temps. La majorité du public (belge pour la plupart) est apparemment là pour eux, et tout le monde sa lâche complètement, ça saute et ça crie de tous les côtés, Steph s’aventure dans les pogos des premiers rangs et je ne tarde pas à la suivre. Sautant un peu partout et poussée de tous les côtés, c'était parfait à vivre comme ça.
Le temps de se rafraichir rapidement, de croiser Pierre W., et il est 2h13 tapantes, l’heure de cette "nouvelle année", le compte à rebours est repris par la foule pendant que des goodies aux couleurs belges sont jetés de scène, et enfin explosent les canons à confettis, des rouge, des jaune et des noir flottent au-dessus de nos têtes, tout le monte s’embrasse, les plus parfaits inconnus nous font la bise et un chapeau atterrit sur la tête de Steph.
Rapide apparition d’un sosie de Johnny Hallyday pour quelques chansons et je croise Mr Veste-en-cuir en cherchant les filles près du 3ème pilier. Grand sourire mythique et regards silencieux entre deux bises et une bonne année souhaitée, puis il s’échappe entre les rideaux noirs vers sa seconde prestation. Je retrouve les filles alors que nos très attendus John & Jean sont déjà sur scène et c’est en nous faufilant avec plus ou moins de mal que nous regagnons les premiers rangs. S’en suit un dj set de folie alors que les barrières s’offrent à nous : Prodigy, Mr Oizo, MGMT, Gossip, Ghinzu, Motorhead, Daft Punk, et d’autres morceaux légendaires s’enchainent, les corps se serrent et s’échauffent, la chaleur se fait suffocante, mes jambes ont de plus en plus de mal à me supporter et je crains de ne pas tenir le coup jusqu’au bout, mais je ne songe pas à m’arrêter une seule seconde, les yeux fermés ou bien plongés vers les leurs, je saute sans ménagement, mes bras remuant dans tous les sens et l’esprit complètement déconnecté. Le final sur Purple Rain m’achève, je finis entièrement trempée et totalement à bout de force, mais putain que c'était bon.
Ruée vers le bar pour essayer de nous remettre, au son des Waxdolls et des suivants que je ne suis que d’une oreille distraite. Regard dans le vague, j’aperçois quelques visages connus qui nous croisent, et lorsque je manque de m’allonger sur la table, je sors retrouver les fumeuses après une dernière bise à John.
Le reste de la nuit mériterait encore des dizaines de lignes, rien que pour raconter la recherche intensive de nourriture et le fight autour du poulet, ou évoquer le soi-disant étudiant en psychologie qui nous sort des trucs de magazines, mais c’est pas comme si ce genre de trucs nous arrivait TOUT LE TEMPS, voyons.
1 commentaire:
J'avais hésité à y aller. Tu me ferais presque regretter.
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