Jeudi dernier, Didier Super à Avignon, et c’était juste la classe, déjà parce qu’arriver à la billetterie et annoncer « j’ai une accréditation pour Stéphanie T., pour Live in Marseille », et recevoir la petite invitation en échange, ça faisait des années que j’en rêvais.
C’était dans un tout petit théâtre du centre-ville, le genre de truc pour 100 personnes, avec du velours rouge sur les strapontins. Bout du premier rang pour moi, photos obligent, un journaliste à mes côtés.
Pour la première partie, un belge nommé Daniel Hélin : chanson théâtrale, réalisme poétique, humour corrosif et bonne humeur à foison. Un genre de préparation en pointillé pour ce qui va suivre, suffisant pour chauffer les zygomatiques. Et une mention spéciale pour le riff de Nirvana.
La majorité de la salle a ensuite profité de l’entracte pour sortir prendre l’air ou se retrouver au bar, alors qu’avec les cinq ou six personnes encore assises autour de moi, nous assistions aux préparatifs de la scène et aux vas-et-viens non pas de Didier Super, mais bien d’Olivier et de son t-shirt du Brise-Glace.
Et après. Ben après, justement, ça ne se raconte pas. Un spectacle de Didier Super, c’est du tout et du n’importe quoi, surtout du n’importe quoi. Un mélange de blagues préparées et d’improvisation avec le public, au point qu’on n’en distingue parfois pas l’une de l’autre. Le tout porté par des chansons qui vont plus loin les unes que les autres, et nous montrent parfaitement l’absence totale de limite sans qui Didier Super ne serait plus le même. Plus d’une heure et demi à flipper que son regard s’arrête sur soi et décèle un petit quelque chose à dévoiler au reste de la salle. Mais surtout, plus d’une heure et demi de fous rires en tous genres.
Une heure et demi, sans compter le rappel, totalement et délicieusement désorganisé : un jeté de clopes généreux du public, Didier nous invitant à le suivre dans le jardin du théâtre, et les prémices d’une comédie musicale sur les coups de minuit, sans pitié pour les voisins tout proches.
C’était dans un tout petit théâtre du centre-ville, le genre de truc pour 100 personnes, avec du velours rouge sur les strapontins. Bout du premier rang pour moi, photos obligent, un journaliste à mes côtés.
Pour la première partie, un belge nommé Daniel Hélin : chanson théâtrale, réalisme poétique, humour corrosif et bonne humeur à foison. Un genre de préparation en pointillé pour ce qui va suivre, suffisant pour chauffer les zygomatiques. Et une mention spéciale pour le riff de Nirvana.
La majorité de la salle a ensuite profité de l’entracte pour sortir prendre l’air ou se retrouver au bar, alors qu’avec les cinq ou six personnes encore assises autour de moi, nous assistions aux préparatifs de la scène et aux vas-et-viens non pas de Didier Super, mais bien d’Olivier et de son t-shirt du Brise-Glace.
Et après. Ben après, justement, ça ne se raconte pas. Un spectacle de Didier Super, c’est du tout et du n’importe quoi, surtout du n’importe quoi. Un mélange de blagues préparées et d’improvisation avec le public, au point qu’on n’en distingue parfois pas l’une de l’autre. Le tout porté par des chansons qui vont plus loin les unes que les autres, et nous montrent parfaitement l’absence totale de limite sans qui Didier Super ne serait plus le même. Plus d’une heure et demi à flipper que son regard s’arrête sur soi et décèle un petit quelque chose à dévoiler au reste de la salle. Mais surtout, plus d’une heure et demi de fous rires en tous genres.
Une heure et demi, sans compter le rappel, totalement et délicieusement désorganisé : un jeté de clopes généreux du public, Didier nous invitant à le suivre dans le jardin du théâtre, et les prémices d’une comédie musicale sur les coups de minuit, sans pitié pour les voisins tout proches.
1 commentaire:
C'est tellement bien écrit que ça donnerait presque envie de changer d'avis ... Mais bon je le déteste tellement que c'est pas près d'arriver je crois ^^.
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