Réveil ni trop tôt ni trop tard le lendemain. Juste de quoi enfiler collants et short, et arriver à l’heure en bas pour le petit déjeuner. Le choix immense, remplir le plateau de céréales, lait, pain, beurre et confitures, yaourt et de l’indispensable bol de café, avant de chercher deux places entre les tables bondées. Pause clope sous un rare soleil éclatant, remonter en vitesse pour profiter au maximum du beau temps. Photos souvenirs de la vue, préparation et maquillage express, et les délires qui naissent au creux des draps, de l’empereur romain aux vagues interrompues par surprise, en passant par une bouteille de rhum.
Recherche désespérée d’un paquet de clopes pour elle, poulets rôtis et livres sur la sexualité croisés au passage. S’aventurer ensuite dans le cimetière du Père Lachaise, prévoir nos indispensables et dégainer Shannon à chaque pas. Se laisser porter par les allées et les envies, regretter le plan à 2€ zappé à l’entrée, manquer nos obligés et jouer entre les ombres et les branches. Dernières photos, un pola pour elle capturé entre les tombes, et sortir par le grand porche.
Une brasserie à côté, le visage de Jim Morrison en de nombreux exemplaires, son souvenir exposé à foison comme une publicité, impression gênante qui nait de l’ensemble. Un croque-monsieur frites coca pour chacune, de la mayo qui semble faite maison, et le métro de nouveau vers les bords de scène. Un marché à la sortie, des animaux en tout genre sur les étals, lapins chinchillas hamsters coq et oiseaux par dizaines, et même un échappé de sa cage.
Les photos de touristes au bord de l’eau, sa vision éphémère au moment de traverser la route, et un petit café en face du théâtre du Châtelet. Les habituels expressos et verres d’eau sur la table, des percussions brésiliennes et une manif en fond sonore, mes jambes aux collants troués au milieu du passage, Karima un peu perdue qui nous rejoint, et un certain Ramzi qui passe à 30 centimètres de moi, coup de genou à Steph compris.
Une soudaine envie de glace sous ce soleil estival, passer devant Notre Dame en slalomant entre les touristes, et finalement se laisser tenter par les pâtisseries dans une vitrine. Dernières errances parisiennes, dernières photos du ciel bleu au-dessus des immeubles, et dernier trajet en métro. Et comme toujours, fin du week-end dans cette même gare, son train en premier et le mien qui suit un peu plus tard.
Recherche désespérée d’un paquet de clopes pour elle, poulets rôtis et livres sur la sexualité croisés au passage. S’aventurer ensuite dans le cimetière du Père Lachaise, prévoir nos indispensables et dégainer Shannon à chaque pas. Se laisser porter par les allées et les envies, regretter le plan à 2€ zappé à l’entrée, manquer nos obligés et jouer entre les ombres et les branches. Dernières photos, un pola pour elle capturé entre les tombes, et sortir par le grand porche.
Une brasserie à côté, le visage de Jim Morrison en de nombreux exemplaires, son souvenir exposé à foison comme une publicité, impression gênante qui nait de l’ensemble. Un croque-monsieur frites coca pour chacune, de la mayo qui semble faite maison, et le métro de nouveau vers les bords de scène. Un marché à la sortie, des animaux en tout genre sur les étals, lapins chinchillas hamsters coq et oiseaux par dizaines, et même un échappé de sa cage.
Les photos de touristes au bord de l’eau, sa vision éphémère au moment de traverser la route, et un petit café en face du théâtre du Châtelet. Les habituels expressos et verres d’eau sur la table, des percussions brésiliennes et une manif en fond sonore, mes jambes aux collants troués au milieu du passage, Karima un peu perdue qui nous rejoint, et un certain Ramzi qui passe à 30 centimètres de moi, coup de genou à Steph compris.
Une soudaine envie de glace sous ce soleil estival, passer devant Notre Dame en slalomant entre les touristes, et finalement se laisser tenter par les pâtisseries dans une vitrine. Dernières errances parisiennes, dernières photos du ciel bleu au-dessus des immeubles, et dernier trajet en métro. Et comme toujours, fin du week-end dans cette même gare, son train en premier et le mien qui suit un peu plus tard.
2 commentaires:
Juste que ça fait du bien de te lire de temps à autre, ce genre de notes :).
(je voulais y aller samedi aussi au Père Lachaise mais le méchant gardien n'a pas voulu me laisser me rentrer même pour les dernières minutes avant la fermeture tssss).
Je manque souvent de temps et de motivation pour faire autre chose que mes comptes-rendus de concerts, mais là ça fait du bien aussi pour moi =)
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