Lyon, 2 ans et demi après. Sauf que cette fois on avait tout prévu, parce que l’expérience parle des fois, et les seules vraies galères ont été celles du lendemain à cause de la grève généralisée.
Genre, on est arrivé, on a fait un tour au centre commercial repéré la dernière fois, y’avait trop de gamins à McDo mais c’était pas grave. On a pris le métro tranquillement, tout était noté dans mes fesses, et y’a même eu le funiculaire façon Disneyland. On a eu un peu de mal à trouver l’auberge ensuite, apparemment à Lyon y’a aucun Lyonnais, mais dans la descente y’avait la bonne adresse. Et après la découverte de la chambre et une longue pause café clopes sur la terrasse, on est reparti pour notre petit périple entre métros et bus.
Il était presque 18h et même pas une dizaine d’ados devant les portes, alors on a pris le temps de faire un tour, et après le mec en vélo qui a dû faire un freinage express, on est tombé sur le quartier des affaires. Et l’hôtel où rien que le petit déjeuner coûtait plus cher que notre nuit à l’auberge. On a quand même osé pousser les portes, un peu parce que c’était quand même la classe, et surtout parce qu’on n’avait pas le choix, en fait, y’avait un peu rien d’autre à côté. On a pris des cafés à 2€50, et le pire c’est qu’avec on a eu un chocolat aux zestes d’oranges, yuck. Puis on a vu et surtout entendu les collègues de boulot de Barney. A côté de ça, y’avait aussi les toilettes qui étaient ultra classes avec le grand miroir, et un mec qui s’amusait au labyrinthe sur le paravent. Normal, Lyon quoi.
On a sans difficulté regagné nos places parmi les premiers, malgré quelques hésitations de sa part, et bien vite les portes se sont ouvertes, on commençait juste à avoir froid. Dedans, y’avait des escaliers de tous les côtés, tout le monde semblait un peu paumé, mais ça nous a permit d’atteindre la barrière côté Andrew.
20h et les lumières éteintes, les petits jeunes écossais de Dananananaykroyd (dont j’ai bien mis quelques semaines à retenir le nom) sont arrivés sur scène. C’était cool, ça sautait et ça criait dans les micros, ça faisait des free hugs au premier rang, ça nous tirait la langue côté gauche, ça a chauffé toute la salle en quelques chansons, c’était pile ce qu’il fallait.
21h et comme mes sources sûres l’avaient prévues, nos 5 anglais ont débarqués pour un Spanish Metal électrisant et plein de promesses pour la soirée. Setlist quasi parfaite, les tubes qui n’en finissaient pas et les 3 albums aussi bien représentés les uns que les autres. J’aurais juste aimé Like it too much et Born to be a dancer en plus. Mais de toute façon ce qu’on venait chercher c’était la petite gueule de Nick, les énormes sauts de Ricky, ses astuces imparables pour mettre le public à ses pieds, leur énergie mythique et leurs chansons qui vident la tête. Et on a été comblé, même si tout est passé trop vite.
A la sortie on a hésité un moment devant les produits non-officiels, et en fin de compte on est reparti avec 2 affiches et 2 t-shirts, le tout pour 15€, ahah. Évidemment il y a un petit secret derrière ce marchandage, et évidemment il ne sera aucunement divulgué. Un coup d’œil vers les tour bus ensuite, et une petite blague aux airs de Kao Bang, mais nos lits nous attendaient, alors on a cherché comment rentrer.
Et c’est là qu’on a fait LA découverte. Le bus-tram lyonnais, ou quelque chose dans ce genre-là, à vrai dire je ne sais même pas encore ce que c’était vraiment. Et c’est bien plus drôle comme ça, avouons-le. Ensuite dans le métro, on est tombé sur les supporters lyonnais qui revenaient du match, et y’en avait un aux jolis yeux à côté de nous. On est arrivé assez tôt pour chopper le funiculaire, et on était à l’auberge avant minuit, ouh la classe. La vue sur Lyon de nuit était assez chouette il faut le dire, surtout avec le calme ambiant et les souvenirs de la soirée dans la tête.
Nos réactions de groupies devant les photos ont suffit à nous achever, et nos yeux se sont respectivement fermés sur les images de Ricky et Nick.
Comme toujours les réveils ont sonné bien trop tôt, comme toujours une de nous deux avait du mal à se lever, mais l’appel du café a été le plus fort. Enfin, café, fallait le dire vite finalement. Tout comme le jus d’orange, quoi. Heureusement y’avait de la gelée de cerise.
On a réservé une chambre pour le soir-même au cas où, et on a essayé de regagner la gare. Premier métro bondé mais qui au moins circulait, deuxième métro annulé pour la journée, on s’est lancé dans les rues en suivant le gros crayon. Une heure après on était sur le banc devant le centre commercial à la fontaine.
Evidemment aucun train ne circulait de province à province, aucun train pour chez nous même avec une correspondance. On a commencé à envisager l’idée de passer par Paris, heures d’attente Gare de Lyon comprises, mais Anne-So et sa belle-sœur nous ont sauvé, alors on est parti à Valence.
Là le miracle de ma journée a eu lieu, 30 secondes après notre descente du train, les haut-parleurs ont annoncé un tgv pour Montpellier dans les minutes suivantes. Alors j’ai abandonné Steph sur le quai, sans songer à la manif’ qui m’accueillerait à Montpellier et à la nouvelle heure de marche qu’elle promettait.
Spanish Metal / Everyday I love you less and less / Everything is average nowaday / Heat dies down / You want history / Ruby / Thank you very much / Good days bad days / Na Na Na Na Naa / Modern Way / Half the truth / Never miss a beat / I predict a riot / Take my temperature / The angry mob // Tomato in the rain / Can't say what I mean / Oh My God.
Genre, on est arrivé, on a fait un tour au centre commercial repéré la dernière fois, y’avait trop de gamins à McDo mais c’était pas grave. On a pris le métro tranquillement, tout était noté dans mes fesses, et y’a même eu le funiculaire façon Disneyland. On a eu un peu de mal à trouver l’auberge ensuite, apparemment à Lyon y’a aucun Lyonnais, mais dans la descente y’avait la bonne adresse. Et après la découverte de la chambre et une longue pause café clopes sur la terrasse, on est reparti pour notre petit périple entre métros et bus.
Il était presque 18h et même pas une dizaine d’ados devant les portes, alors on a pris le temps de faire un tour, et après le mec en vélo qui a dû faire un freinage express, on est tombé sur le quartier des affaires. Et l’hôtel où rien que le petit déjeuner coûtait plus cher que notre nuit à l’auberge. On a quand même osé pousser les portes, un peu parce que c’était quand même la classe, et surtout parce qu’on n’avait pas le choix, en fait, y’avait un peu rien d’autre à côté. On a pris des cafés à 2€50, et le pire c’est qu’avec on a eu un chocolat aux zestes d’oranges, yuck. Puis on a vu et surtout entendu les collègues de boulot de Barney. A côté de ça, y’avait aussi les toilettes qui étaient ultra classes avec le grand miroir, et un mec qui s’amusait au labyrinthe sur le paravent. Normal, Lyon quoi.
On a sans difficulté regagné nos places parmi les premiers, malgré quelques hésitations de sa part, et bien vite les portes se sont ouvertes, on commençait juste à avoir froid. Dedans, y’avait des escaliers de tous les côtés, tout le monde semblait un peu paumé, mais ça nous a permit d’atteindre la barrière côté Andrew.
20h et les lumières éteintes, les petits jeunes écossais de Dananananaykroyd (dont j’ai bien mis quelques semaines à retenir le nom) sont arrivés sur scène. C’était cool, ça sautait et ça criait dans les micros, ça faisait des free hugs au premier rang, ça nous tirait la langue côté gauche, ça a chauffé toute la salle en quelques chansons, c’était pile ce qu’il fallait.
21h et comme mes sources sûres l’avaient prévues, nos 5 anglais ont débarqués pour un Spanish Metal électrisant et plein de promesses pour la soirée. Setlist quasi parfaite, les tubes qui n’en finissaient pas et les 3 albums aussi bien représentés les uns que les autres. J’aurais juste aimé Like it too much et Born to be a dancer en plus. Mais de toute façon ce qu’on venait chercher c’était la petite gueule de Nick, les énormes sauts de Ricky, ses astuces imparables pour mettre le public à ses pieds, leur énergie mythique et leurs chansons qui vident la tête. Et on a été comblé, même si tout est passé trop vite.
A la sortie on a hésité un moment devant les produits non-officiels, et en fin de compte on est reparti avec 2 affiches et 2 t-shirts, le tout pour 15€, ahah. Évidemment il y a un petit secret derrière ce marchandage, et évidemment il ne sera aucunement divulgué. Un coup d’œil vers les tour bus ensuite, et une petite blague aux airs de Kao Bang, mais nos lits nous attendaient, alors on a cherché comment rentrer.
Et c’est là qu’on a fait LA découverte. Le bus-tram lyonnais, ou quelque chose dans ce genre-là, à vrai dire je ne sais même pas encore ce que c’était vraiment. Et c’est bien plus drôle comme ça, avouons-le. Ensuite dans le métro, on est tombé sur les supporters lyonnais qui revenaient du match, et y’en avait un aux jolis yeux à côté de nous. On est arrivé assez tôt pour chopper le funiculaire, et on était à l’auberge avant minuit, ouh la classe. La vue sur Lyon de nuit était assez chouette il faut le dire, surtout avec le calme ambiant et les souvenirs de la soirée dans la tête.
Nos réactions de groupies devant les photos ont suffit à nous achever, et nos yeux se sont respectivement fermés sur les images de Ricky et Nick.
Comme toujours les réveils ont sonné bien trop tôt, comme toujours une de nous deux avait du mal à se lever, mais l’appel du café a été le plus fort. Enfin, café, fallait le dire vite finalement. Tout comme le jus d’orange, quoi. Heureusement y’avait de la gelée de cerise.
On a réservé une chambre pour le soir-même au cas où, et on a essayé de regagner la gare. Premier métro bondé mais qui au moins circulait, deuxième métro annulé pour la journée, on s’est lancé dans les rues en suivant le gros crayon. Une heure après on était sur le banc devant le centre commercial à la fontaine.
Evidemment aucun train ne circulait de province à province, aucun train pour chez nous même avec une correspondance. On a commencé à envisager l’idée de passer par Paris, heures d’attente Gare de Lyon comprises, mais Anne-So et sa belle-sœur nous ont sauvé, alors on est parti à Valence.
Là le miracle de ma journée a eu lieu, 30 secondes après notre descente du train, les haut-parleurs ont annoncé un tgv pour Montpellier dans les minutes suivantes. Alors j’ai abandonné Steph sur le quai, sans songer à la manif’ qui m’accueillerait à Montpellier et à la nouvelle heure de marche qu’elle promettait.
Spanish Metal / Everyday I love you less and less / Everything is average nowaday / Heat dies down / You want history / Ruby / Thank you very much / Good days bad days / Na Na Na Na Naa / Modern Way / Half the truth / Never miss a beat / I predict a riot / Take my temperature / The angry mob // Tomato in the rain / Can't say what I mean / Oh My God.
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