Le 14 octobre dernier. Une nuit agitée, trop peu d’heures de sommeil, et le réveil qui se déclenche un samedi à 6h10 sur une voix féminine. Une heure et demi et un brushing plus tard. Ramasser le lecteur mp3, les piles chargées, un bouquin, l’appareil photo, le portefeuille, le poster pour elle, une veste, une écharpe, quelques badges, les clefs, et fermer la porte. Quelques euros dans la poche, guichet automatique, achat de 2 billets, aller-retour dans la journée, et le train de 8h45. Première classe, siège voisin libre, musique dans les oreilles, j’essaie de continuer ma nuit. Presque midi, une dernière touche de noir sur les yeux, et j’affronte l’air parisien.
Escaliers, me mettre dans la file, un ticket jeune pour la journée, zones 1 à 3 s’il vous plait, et le métro 1 direction La Défense. Charles de Gaulle Etoile, la lumière vive dans les yeux, l’Arc de Triomphe, chercher du regard.
Un texto quelques minutes plus tard et eux deux à quelques mètres seulement. Le grand Raph’-Prayers et la toute jolie Isabelle-Marilyn. Le presque-aussi-grand Monsieur Nouth’ aux yeux bleus, un peu plus tard. Un tour au Virgin, les immenses rayons pop-rock, rock français, vinyles, dvd musicaux, … qui font rêver. Les yeux qui se baladent et s’arrêtent un peu partout avec envie. Dur de résister à tous ces bijoux. Retour au point de rendez-vous, et la petite dernière qui nous rejoint. Les estomacs vides, un repas McDo, et la retrouver elle un peu plus tard. Remonter les Champs, à la recherche de la bonne adresse.
Artcurial. Les escaliers. Demander. Nicola Sirkis. Et la toile rose aux fins traits noirs. Vue quelques jours plus tôt en photo. Sa phrase. Enfin, la vie est belle. Faire le tour des salles. M’attarder sur quelques-unes des 99 autres toiles. De chouettes idées, de jolis coups de pinceaux, une touche de poésie parfois. Le silence respectueux et le sol qui craque. Les voix étouffées. Feuilleter le livre, faute de pouvoir l’acheter. Refaire le tour. Puis retrouver le soleil.
Un peu de marche, chercher où se poser. La Tour Eiffel, finalement. Un coin d’herbe à l’ombre. Nous six en cercle, leurs blagues, les lancers d’herbe, les discussions sur le forum, la musique, et le reste. La ressemblance de dingue, lui et leur amitié, ça me saute tellement aux yeux que c’en est tout juste croyable.
Le temps qui passe trop vite, l’heure de se quitter qui arrive. Retrouver les Champs, quelques photos avant le métro, des aux revoirs et des câlins rapides. Encore un peu de temps à tuer avant le retour. Prendre le temps de discuter avec elle sur un banc de la gare, en grignotant deux trois trucs pour se remplir un peu l’estomac. L’heure qui tourne, composter le billet, lui dire au revoir. Train quasiment vide, compartiment calme au possible, des images plein la tête, retrouver la même sensation qu’après les anciens rendez-vous kikidonkiens. Fermer les yeux, musique sur les oreilles, me laisser bercer. Avant de retrouver Montpellier.
[...]
Escaliers, me mettre dans la file, un ticket jeune pour la journée, zones 1 à 3 s’il vous plait, et le métro 1 direction La Défense. Charles de Gaulle Etoile, la lumière vive dans les yeux, l’Arc de Triomphe, chercher du regard.
Un texto quelques minutes plus tard et eux deux à quelques mètres seulement. Le grand Raph’-Prayers et la toute jolie Isabelle-Marilyn. Le presque-aussi-grand Monsieur Nouth’ aux yeux bleus, un peu plus tard. Un tour au Virgin, les immenses rayons pop-rock, rock français, vinyles, dvd musicaux, … qui font rêver. Les yeux qui se baladent et s’arrêtent un peu partout avec envie. Dur de résister à tous ces bijoux. Retour au point de rendez-vous, et la petite dernière qui nous rejoint. Les estomacs vides, un repas McDo, et la retrouver elle un peu plus tard. Remonter les Champs, à la recherche de la bonne adresse.
Artcurial. Les escaliers. Demander. Nicola Sirkis. Et la toile rose aux fins traits noirs. Vue quelques jours plus tôt en photo. Sa phrase. Enfin, la vie est belle. Faire le tour des salles. M’attarder sur quelques-unes des 99 autres toiles. De chouettes idées, de jolis coups de pinceaux, une touche de poésie parfois. Le silence respectueux et le sol qui craque. Les voix étouffées. Feuilleter le livre, faute de pouvoir l’acheter. Refaire le tour. Puis retrouver le soleil.
Un peu de marche, chercher où se poser. La Tour Eiffel, finalement. Un coin d’herbe à l’ombre. Nous six en cercle, leurs blagues, les lancers d’herbe, les discussions sur le forum, la musique, et le reste. La ressemblance de dingue, lui et leur amitié, ça me saute tellement aux yeux que c’en est tout juste croyable.
Le temps qui passe trop vite, l’heure de se quitter qui arrive. Retrouver les Champs, quelques photos avant le métro, des aux revoirs et des câlins rapides. Encore un peu de temps à tuer avant le retour. Prendre le temps de discuter avec elle sur un banc de la gare, en grignotant deux trois trucs pour se remplir un peu l’estomac. L’heure qui tourne, composter le billet, lui dire au revoir. Train quasiment vide, compartiment calme au possible, des images plein la tête, retrouver la même sensation qu’après les anciens rendez-vous kikidonkiens. Fermer les yeux, musique sur les oreilles, me laisser bercer. Avant de retrouver Montpellier.
[...]
Et puis : Langue piercée depuis quelques heures.
Ca promet pour demain matin.
Ca promet pour demain matin.
7 commentaires:
ENCORE ENCORE!
I think you're trying to say HONORABLE ! =D
Ah ouiiiii !
Cette journée !
Parfois j'y repense et c'est vrai que ct bien. J'espère qu'il y en aura d'autres, vraiment et puis le titre est-ce que c'est celui d'une chanson et si oui laquelle ?
Lin> oui c'est une chanson, de Staind même. Je réponds moi vu que Stef m'emploie comme trouveuse de titres de notes attitrée, et que donc je sais que ça vient de cette chanson (qui est bien triste d'ailleurs).
A mon avis elle s'en doutait ;)
Oui oui je m'en doutais héhéhé :p d'où ma question :].
(et oui oui je confirme très triste)
haha j'ai mis la même chanson sur mon blog il y a quelques jours :)
je l'aime beaucoup!!
bisous
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