Ne pas vouloir laisser passer les deux derniers jours de la fête du cinéma. Avoir plein d’envies. Trop pour pouvoir toutes les assouvir. Alors, lundi, se contenter de Madagascar, puis de Batman Begins, dans les grandes salles climatisées du Pathé. Celles que je déteste de plus en plus. Mais ces films-là ne passaient pas dans le petit Utopia du centre-ville. Mardi, y aller, dans ce petit cinéma. Y découvrir Douches Froides, et ensuite, s’user de nouveau les rétines avec Garden State, pour la deuxième fois.
Manquer de temps, d’argent, d’organisation, pour voir aussi Amityville, A Dirty Shame, et revoir Les Poupées Russes. Mais apprendre que A Dirty Shame passera le mardi suivant, à la séance de midi, celle à 3€50. Alors sourire.
Sortir de ces deux jours de cinéma souriante pour Madagascar (drôle, vraiment, j’aime beaucoup l’ambiance, le fond proche de Shrek, et puis, surtout, la scène à la American Beauty), un peu déçue par Batman (le seul des quatre pendant lequel je me suis ennuyée et ai regardé l’heure à plusieurs reprises), drôlement surprise et touchée et tout ça, par Douches Froides, et toujours aussi émerveillée par Garden State, que je soupçonne d’être même encore mieux à la deuxième visualisation.
Mercredi, aller pour la dernière fois à Montpellier, terminer le déménagement, le départ. ["Terminer le départ", c’est drôle, dit de cette façon.]
Quitter définitivement ce petit 10m², avec un certain pincement au cœur. Parce que c’était mon 10m². Même si c’était vraiment loin d’être le luxe, ni même agréable à vivre. Et même sans l’être tout à fait, c’était un bout de chez-moi. Un bout de moi.
Fermer la porte, descendre ces escaliers, rendre les clefs au secrétariat. Et puis sortir. En se disant « Peut-être à dans quelques mois ».
Un tour à la Fnac, quelques achats, puis aller récupérer mon chèque-cadeau à l’acceuil. 10€, ça donne envie d’aller piocher dans leurs cd "bonnes affaires", Oasis, Archive, Sonic Youth, Foo Fighters, Stereophonics, ... devant lesquels je suis passé avec regret. Ou peut-être quelques livres, pour l’été et les voyages en train qui s’annoncent.
Passer sur la Com’, en jetant un coup d’œil aux musiciens, sans reconnaître les deux que je voulais voir. Deux heures à tuer avant le train, alors se diriger vers l’esplanade. Programme : s’asseoir dans l’herbe, à l’ombre, avec le nouveau bouquin dans les mains et des jolies choses dans les oreilles (en l’occurrence, Rencontre sous X, de D. van Cauwelaert, acheté quelques minutes plus tôt ; et The Servant).
Manquer de temps, d’argent, d’organisation, pour voir aussi Amityville, A Dirty Shame, et revoir Les Poupées Russes. Mais apprendre que A Dirty Shame passera le mardi suivant, à la séance de midi, celle à 3€50. Alors sourire.
Sortir de ces deux jours de cinéma souriante pour Madagascar (drôle, vraiment, j’aime beaucoup l’ambiance, le fond proche de Shrek, et puis, surtout, la scène à la American Beauty), un peu déçue par Batman (le seul des quatre pendant lequel je me suis ennuyée et ai regardé l’heure à plusieurs reprises), drôlement surprise et touchée et tout ça, par Douches Froides, et toujours aussi émerveillée par Garden State, que je soupçonne d’être même encore mieux à la deuxième visualisation.
Mercredi, aller pour la dernière fois à Montpellier, terminer le déménagement, le départ. ["Terminer le départ", c’est drôle, dit de cette façon.]
Quitter définitivement ce petit 10m², avec un certain pincement au cœur. Parce que c’était mon 10m². Même si c’était vraiment loin d’être le luxe, ni même agréable à vivre. Et même sans l’être tout à fait, c’était un bout de chez-moi. Un bout de moi.
Fermer la porte, descendre ces escaliers, rendre les clefs au secrétariat. Et puis sortir. En se disant « Peut-être à dans quelques mois ».
Un tour à la Fnac, quelques achats, puis aller récupérer mon chèque-cadeau à l’acceuil. 10€, ça donne envie d’aller piocher dans leurs cd "bonnes affaires", Oasis, Archive, Sonic Youth, Foo Fighters, Stereophonics, ... devant lesquels je suis passé avec regret. Ou peut-être quelques livres, pour l’été et les voyages en train qui s’annoncent.
Passer sur la Com’, en jetant un coup d’œil aux musiciens, sans reconnaître les deux que je voulais voir. Deux heures à tuer avant le train, alors se diriger vers l’esplanade. Programme : s’asseoir dans l’herbe, à l’ombre, avec le nouveau bouquin dans les mains et des jolies choses dans les oreilles (en l’occurrence, Rencontre sous X, de D. van Cauwelaert, acheté quelques minutes plus tôt ; et The Servant).
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