Je voulais faire une toute jolie note, parce que ces quelques jours toulousains le méritent ; mais je n’ai réussi qu’à griffonner des petites phrases et des petits mots, par-ci par-là dans mon carnet. Alors voilà tout tel quel. De toute façon, je n’aurai jamais réussi à transmettre tout ce qui s’est passé et tout ce que j’ai (on ?) a pu ressentir.
Parfois je me suis surprise à -re-penser ces quelques mots, je l’aime. Malgré que je ne puisse pas le lui dire, ni même me l’avouer franchement à moi-même... Pas encore.
Elle est belle... Qu’est-ce qu’elle est belle. Et mignonne, jolie, pétillante. Elle a ce petit truc dans les yeux, cette petite étincelle. [Putain, qu’est-ce que je me sentais horriblement moche à côté d’elle. Et horriblement conne.]
Elle est belle... Qu’est-ce qu’elle est belle. Et mignonne, jolie, pétillante. Elle a ce petit truc dans les yeux, cette petite étincelle. [Putain, qu’est-ce que je me sentais horriblement moche à côté d’elle. Et horriblement conne.]
« J’ai cru voir en toi ce qui manque en moi... »
J’aimerai, juste une fois, quand je suis avec elle, pouvoir la serrer dans mes bras lorsque j’en ai envie, lui faire un énorme bisou sur la joue lorsque j’en ai envie, serrer sa main dans la mienne lorsque j’en ai envie, lui prendre le bras en marchant lorsque j’en ai envie... Au lieu de m’obnubiler de milliers de questions. [C’est ma chiwie, quand même...]
[Et si... ?]
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