Et bien sûr, ce train que j’ai dû prendre lundi, pour aller à Montpellier... il a fallu qu’il soit en direction de Toulouse.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Etonnement de la semaine : on m’a toujours dit, et je me suis toujours rendue compte, que je faisais plus jeune que mon âge. Et en quelques jours, je me suis entendue appeler « Madame » par 3 fois. Hum. Ca vieillit, d’un coup. Moi qui m’en plaignait, de paraître moins que mes 19 ans, ce n’était pas si mal, finalement.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Je suis retournée voir 'Eternal Sunshine', pour la seconde fois, hier après-midi. Dans le petit cinéma d’à côté de la fac, le seul qui le diffuse encore pour quelques jours. Je me suis retrouvée avec deux autres personnes, dans la salle tout minuscule et toute intimiste. Il n’y avait que des sièges vides entre moi et l’écran, j’avais l’impression d’avoir le film pour moi seule. Toutes ces émotions que j’avais ressenties la première fois, elles étaient encore là. Ces frissons au bout des doigts, ces nœuds au ventre et ces boules dans la gorge, ces tortillements d’estomac, ces « boum-boum » du cœur, ces douces larmes, ces sourires discrets. Tout ça, en deux fois plus fort, en deux fois plus grand. Parce que c’est ça, « l’étincelle éternelle... ».
Les aimer. Vouloir leur ressembler. Lui ressembler. Rêver.
Etonnement de la semaine : on m’a toujours dit, et je me suis toujours rendue compte, que je faisais plus jeune que mon âge. Et en quelques jours, je me suis entendue appeler « Madame » par 3 fois. Hum. Ca vieillit, d’un coup. Moi qui m’en plaignait, de paraître moins que mes 19 ans, ce n’était pas si mal, finalement.
Je suis retournée voir 'Eternal Sunshine', pour la seconde fois, hier après-midi. Dans le petit cinéma d’à côté de la fac, le seul qui le diffuse encore pour quelques jours. Je me suis retrouvée avec deux autres personnes, dans la salle tout minuscule et toute intimiste. Il n’y avait que des sièges vides entre moi et l’écran, j’avais l’impression d’avoir le film pour moi seule. Toutes ces émotions que j’avais ressenties la première fois, elles étaient encore là. Ces frissons au bout des doigts, ces nœuds au ventre et ces boules dans la gorge, ces tortillements d’estomac, ces « boum-boum » du cœur, ces douces larmes, ces sourires discrets. Tout ça, en deux fois plus fort, en deux fois plus grand. Parce que c’est ça, « l’étincelle éternelle... ».
Les aimer. Vouloir leur ressembler. Lui ressembler. Rêver.
« Oh my darling, oh my darling... »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire