Il y a eu les examens. De la rentrée, le 3, jusqu’au jour-même de la reprise des cours. CM reportés d’une semaine pour cause de non organisation des deux facs, mais ça, on en a l’habitude. Des partiels que je pensais avoir raté, et qui se révèlent assez réussi, aux vues des notes. Il en reste encore une à attendre. Celle de Neurophysio, où l’ensemble des étudiants s’est lamentablement planté. Mais. Je crois que. Malgré ça. Mon semestre sera sûrement validé. [Parce que le 15.25 en Stat. Quand même. Totalement inattendu. Puisque absence record aux cours. Et quasi-totalité des chapitres inconnue trois jours avant le partiel.]
Et puis il y a eu la sortie avec eux, après cet examen là. Pour décompresser de la matinée à gratter les feuilles et de la veille entière à réviser avec eux, jusqu’au soir tard. La bière à 1 € et les cocktails à 4, et la difficulté à remonter sur le tabouret trop haut, au bout de quelques verres. Et la langue qui se délie. Le corps aussi. Même si quelques heures après, une fois les effets dissipés. La petite voix reprend le dessus et martèle le crâne de remords. Mais. Ça vaut toujours mieux que les regrets.
Il y a aussi eu la reprise des cours. Ou presque. Tout doucement. Les nouveaux groupes de Td qui se découvrent. Les réjouissances de savoir qu’on croisera souvent telle ou telle personne. Les nouveaux CM et les notions nouvelles qui font du bien après des mois penchés sur les mêmes sujets.
Et surtout. Il y a eu le déménagement. D’abord le rendez-vous, pour récupérer les clefs. Ouvrir la porte, y entrer pour la première fois et m’y sentir déjà. Chez-moi. Au bout de quelques secondes alors que jamais là-bas malgré les années. Laisser une trace avec cette affiche géante bleue sur le mur blanc. Cadeau de Noël au goût chocolaté. Maintenant je cohabite avec Monsieur Wonka. Et quelques jours plus tard. Le week-end dernier. Délaisser enfin les 9m² qui devenaient trop étouffants. Pour ce 19m² dont je suis tombée amoureuse.
Il y a eu notre nouvelle toulousaine, pour deux petits jours. Récupérée à la sortie de la fac. Avant de passer l’après-midi chez moi devant Eternal Sunshine et des muffins. Et puis, le soir, toutes les quatre comme avant pour ses 20 ans. Le resto. Avec le serveur qui est en cours avec nous. Les fondues. Et même celle au chocolat. La glace surprise pour elles deux. Le kir avec du rhum. Les boissons dans les biberons. Les photos. Effacées. Les pailles plongées dans la carafe. La carte qui l’attendait sur la table. Les joues qui rosissent. Sous l’effet de la chaleur. Et le bar. Les poings sur la table et le demi cerise. Finir la soirée chez moi, et les cadeaux. Courte nuit de sommeil avant la grosse journée shopping toutes les deux. Temps qui file trop vite, train qui s'en va, mais AqME bientôt et puis le projet d’un week-end toutes les quatre à Toulouse.
Et. Aussi. Il y a eu. Les moments passés à réfléchir, les ça passe, les j’oublie, les ça revient, ou alors ce n’est que de la nostalgie, de toute façon on ne sait plus très bien mais toujours ces putains de souvenirs en plein dans la gueule. D’un coup. Quand on ne s’y attend pas. Les larmes au détour d’une conversation ou d’une chanson. Ou bien une lettre non envoyée qu’on avait oublié. Et qu’on relit alors que c’est la dernière chose à faire et qu’on le sait. Mais. Malgré tout ça. Ça va. Toujours.
Et puis il y a eu la sortie avec eux, après cet examen là. Pour décompresser de la matinée à gratter les feuilles et de la veille entière à réviser avec eux, jusqu’au soir tard. La bière à 1 € et les cocktails à 4, et la difficulté à remonter sur le tabouret trop haut, au bout de quelques verres. Et la langue qui se délie. Le corps aussi. Même si quelques heures après, une fois les effets dissipés. La petite voix reprend le dessus et martèle le crâne de remords. Mais. Ça vaut toujours mieux que les regrets.
Il y a aussi eu la reprise des cours. Ou presque. Tout doucement. Les nouveaux groupes de Td qui se découvrent. Les réjouissances de savoir qu’on croisera souvent telle ou telle personne. Les nouveaux CM et les notions nouvelles qui font du bien après des mois penchés sur les mêmes sujets.
Et surtout. Il y a eu le déménagement. D’abord le rendez-vous, pour récupérer les clefs. Ouvrir la porte, y entrer pour la première fois et m’y sentir déjà. Chez-moi. Au bout de quelques secondes alors que jamais là-bas malgré les années. Laisser une trace avec cette affiche géante bleue sur le mur blanc. Cadeau de Noël au goût chocolaté. Maintenant je cohabite avec Monsieur Wonka. Et quelques jours plus tard. Le week-end dernier. Délaisser enfin les 9m² qui devenaient trop étouffants. Pour ce 19m² dont je suis tombée amoureuse.
Il y a eu notre nouvelle toulousaine, pour deux petits jours. Récupérée à la sortie de la fac. Avant de passer l’après-midi chez moi devant Eternal Sunshine et des muffins. Et puis, le soir, toutes les quatre comme avant pour ses 20 ans. Le resto. Avec le serveur qui est en cours avec nous. Les fondues. Et même celle au chocolat. La glace surprise pour elles deux. Le kir avec du rhum. Les boissons dans les biberons. Les photos. Effacées. Les pailles plongées dans la carafe. La carte qui l’attendait sur la table. Les joues qui rosissent. Sous l’effet de la chaleur. Et le bar. Les poings sur la table et le demi cerise. Finir la soirée chez moi, et les cadeaux. Courte nuit de sommeil avant la grosse journée shopping toutes les deux. Temps qui file trop vite, train qui s'en va, mais AqME bientôt et puis le projet d’un week-end toutes les quatre à Toulouse.
Et. Aussi. Il y a eu. Les moments passés à réfléchir, les ça passe, les j’oublie, les ça revient, ou alors ce n’est que de la nostalgie, de toute façon on ne sait plus très bien mais toujours ces putains de souvenirs en plein dans la gueule. D’un coup. Quand on ne s’y attend pas. Les larmes au détour d’une conversation ou d’une chanson. Ou bien une lettre non envoyée qu’on avait oublié. Et qu’on relit alors que c’est la dernière chose à faire et qu’on le sait. Mais. Malgré tout ça. Ça va. Toujours.